Pennad Kaoz
Peseurt diforzh etre ar feiz bevet e galleg peotramant e n’eus forzh peseurt yezh, hag ar feiz bevet e brezhoneg ?
Setu unan deus ar goulennoù savet gant Lionel Buannic ‘barzh an abadenn Pennad Kaoz. Job An Irien, beleg ha krouer Minihi Levenez, a respont e brezhoneg ‘pad 40 munutenn evit kaozeal diwar-benn ar feiz, e vuhez, an iliz ha plas ar brezhoneg ‘barzh anezhi.
An abadenn penn-da-benn ‘vo skignet a-benn dimerc’her war lec’hienn Brezhoweb.
Pennad Kaoz
Quelle différence entre la foi vécue en français ou dans n’importe quelle autre langue, et la foi vécue en langue bretonne ?
Voici une des nombreuses questions posées en breton par Lionel Buannic à Job An Irien, prêtre et créateur du centre spirituel Minihi Levenez, dans une nouvelle émission en breton nommée « Pennad Kaoz ». 40 minutes d’interview en breton sans coupure.
L’émission sera diffusée en intégralité mercredi sur le site de Brezhoweb.
Je suis tout-à-fait d’accord avec Job. Bien que ne parlant pas couramment le breton, j’en ai été nourrie dès l’enfance. Les mots de la foi, je peux les traduire mais le ressenti de ces mots n’est pas le même exprimés en une langue ou en une autre.
L’exemple qu’il prend en parlant des chants est vérifiable : Dans une assemblée chrétienne où il y a des gens bretonnants dans l’enfance, quand un chant est entonné en breton, les voix s’enflent, l’émotion est palpable. Même ceux qui ne comprennent pas le breton sont sensibles à ce phénomène.
Ha gallout a rafec’h kas din marplij, chomlec’h elektronek Job an Irien, ur skrid am eus
da dreuzkas dezhañ, pe neuze hini Minic’hi Trelevenez. Bennozh deoc’h.