Un dimanche par mois, de 13h à 17h, la Mission Bretonne de Paris propose « Evangile et vie », moment qui permet de s’inscrire dans une histoire, une tradition, un héritage… et de jeter un regard breton sur la foi chrétienne… Ur sell eus breizh war ar feiz kristen. La prochaine journée aura lieu le 17 mars prochain.
– Créée par l’abbé Gautier, continuée par le Père le Quémener, la Mission Bretonne est un lieu profondément lié au religieux. Avec les transformations sociales et culturelles, l’évolution des mentalités, elle a peu a peu pris une dimension avant tout culturelle. Mais le caractère spirituel de la Mission n’a pas disparu. A l’image de la chapelle, il se fait discret… mais demeure dans la fidélité à l’esprit du Père le Quémener : « la chapelle, les journées de réflexion spirituelle sont essentielles pour la maison. Discrètes, elles représentent une flamme qui donne du sens et reste vivante, quoi qu’il arrive ! » écrivait-il en 1997…
C’est aujourd’hui le Père Philippe Le Hénaff qui a pris la suite.
– La journée commence par un repas, tradition bretonne oblige ! avec tous ceux qui souhaitent venir « que l’on croit au Ciel ou que l’on n’y croit pas »…, chrétiens ou non. Repas partagé, fraternel et souvent préparé en commun avec les volontaires… Le repas est un formidable temps de partage et d’échanges, à bâtons rompus, sur tous les sujets…
– Pour ceux qui le souhaitent ensuite vient un temps de réflexion spirituel, sur un thème ou sur les textes du jour.
Evangile et Vie, c’est bien sûr un temps de prière et de recueillement :
– Pour ceux qui le souhaitent la journée se termine par une messe dans la chapelle ou dans la salle si l’assemblée est trop nombreuse.
Bonjour.
Je suis très heureux d’avoir des nouvelles de la Mission Bretonne et du temps de réflexion Evangile et Vie. Merci au P. Philippe Le Hénaff de continuer ce travail que Le P. François Le Quémener menait de front avec l’animation de la Mission bretonne. J’ai eu le bonheur de le rencontrer plusieurs fois à la Mission Bretonne lors de mon séjour à Paris en 1985-1992. J’en garde un souvenir profond. Bon courage P. Le Hénaff.
H. Cadouellan
Ravi de vous voir ici sur ce blog, je transmets votre commentaire au P. Le Hénaff.
A bientôt !