Abandonnée, la chapelle subit les assauts du temps, dans l’indifférence générale. Une partie de la voûte vient de s’effondrer.
Il y a un an, nous évoquions sur Ar Gedour le sort malheureux d’une chapelle du Diocèse de Vannes. Nous vous en reparlons aujourd’hui car, malgré nos alertes, la chapelle est en état d’urgence… Une partie de la voûte vient de s’effondrer.
Toujours nichée au creux d’un bois où elle sommeille depuis tant d’années, la chapelle saint Germain, quatorzième chapelle de Languidic, attend toujours une restauration qui semble ne jamais devoir venir. Malgré tous les efforts déployés pour alerter les responsables locaux, rien n’a encore été fait ! Et cette fois de nouveaux dégâts sont au rendez-vous : une autre partie de la voûte vient de s’effondrer dans le chœur : en cause, les arbres situés derrière la chapelle, les infiltrations d’eau à travers la toiture, un hiver froid et pluvieux. Il n’y eut pourtant pas grand chose à faire au cours des années écoulées pour mettre la chapelle hors d’eau, et éviter ainsi de futures catastrophes.
Mais sans doute ne fallait-il pas trop en demander à ceux-là même qui nous annonçaient il y a encore quelques années, la larmichette au coin de l’œil, une destruction devenue inéluctable (cf http://www.ouest-france.fr/perpetuer-le-souvenir-de-la-chapelle-2002072)
Qu’ils se réjouissent donc car d’ici quelques années ils auront peut-être ce qu’ils souhaitent sans avoir eu besoin de manier la pioche ou de louer un bulldozer. Et là où les bombes ne détruisent pas encore, c’est l’hypocrisie et le je-m’en-foutisme de soi-disant « chrétiens engagés » qui prend le relais. Autre raison de ne pas se réjouir : c’est le diocèse qui est propriétaire des lieux. Peu rassurant, en effet. Car le plus souvent ce sont bien ces édifices-là qui ont le plus de »chance » de mal finir.
Ailleurs d’autres exemples ne manquent pas : vente d’églises et d’objets liturgiques, abandon de chapelles, dénaturation de toutes sortes… La chapelle saint Germain deviendra-telle à son tour le symbole d’une église accumulant à la fois ruine matérielle et ruine spirituelle ? Peut-être, mais pas avant d’avoir tout entrepris pour la sauver. Il est maintenant temps d’alerter le grand public. Merci à tous de relayer cette information autour de vous.
Le diocèse est propriétaire… Quand on voit les sommes d’argent (données par les fidèles) qui passent en photocopies ou en « projets diocésains aussi délirants, mégalo et pharaoniques que démago.
Combien sont payés certains salariés de l’association diocésaine ? (surtout ceux en charge du temporel) Qu’ils versent leur fric et viennent donner la main et payer de leur personne ! Ras-le- bol de l’Eglise de bureaux qui baisse son froc devant l’Islam et les laïcards et qui laisse s’effondrer notre patrimoine tout en s’offrant le luxe de persécuter les tradis comme les défenseurs de la langue bretonne ! Un seul mot d’ordre : grève du denier du culte !
ou sont-ils les milliers de jeunes catholiques qui ontfait le voyage de pologne ? c,est lemoment de les inviter à retrousser leurs manches, sous la conduite d,artisans qualifiés et de montrer ce que la vraie foi peut réaliser mais ? la vraie FOI existe t,elle aujoud,hui ??