Petra zo henoah a neué men dé holl en dud ar valé ? Perak eh ant a vandenneu e kreiz en noz d’en ilizieu ?
Qu’y a-t-il de neuf ce soir ? Qu’une foule de gens sont sur les routes ? Pourquoi en masse se rendent-ils de nuit dans les églises ?
Setu komzoù ar c’hantik kentañ (e gwenedeg). Warlec’h e vez kanet ur c’hantik all, evel respont…
Setu eta, evit lidañ ganedigezh Salver ar bed, 2 don kanet gant al laz-kanañ Boeh ar Mor : Petra zo henoah a neué , hag ar ganaouenn Kerzhit bugulion.
Un Nedeleg laouen ha santel a hetamb deoc’h ha d’ho tiegezhioù
- Le mot « Nedeleg » vient du latin Natalicium (« Natalicia dies » en Latin Médiéval) ; généralement, pour parler de Noël, on dit « An Nedeleg », avec l’article, comme en Français où l’on dit parfois « La Noël ». Nous pouvons en fonction des lieux trouver des variations comme « Nandeleg » ou encore « Nendeleg ».L’usage du mot « Pellgent » – signifiant « l’aurore » est moins fréquent qu’autrefois, mais il revient à l’honneur.
- Le Réveillon de Noël s’appelle « Ar Fiskoan », mot composé de « Fest » (fête) et de « Koan » (repas du soir).
- La Messe de Minuit se dit « Oferenn ar Pellgent ».
- Le Père Noël peut s’appeler de différentes manières, traditionelement on disait « Mabig Jezuz » (le petit Jésus). Les appellations les plus courantes sont « Tad Kozh ar Pellgent » (Grand père de l’aurore) et « Tad Kozh an Nedeleg » (Grand père de Noël). Certains utilisent l’appellation « Tad Nedeleg » qui est une traduction mot à mot de « Père Noël » mais qui n’a jamais été employée par les Bretonnants.
- La buche de Noël, celle qui se mange s’appelle « Gwastell an Nedeleg »
- La buche de Noël, celle qui se met dans l’âtre (an oaled), peut s’appeler de différente manières :
– An etev Nedeleg
– Kef an Nedeleg
– Tos an Nedeleg
– Skod an Nedeleg