Le site En Eñvor vient de publier un article faisant une analogie entre la Mémoire de la Grande Guerre et le suicide des agriculteurs, suite à la cérémonie du 11 octobre à Sainte Anne d’Auray. A découvrir ici.
La mémoire de la Grande Guerre et le suicide des agriculteurs
Amzer-lenn / Temps de lecture : 1 min
Il n’y a jamais eu 240 000 morts, « seulement » 125 000…Bretons, nous avons suffisamment souffert des mensonges de l’historiographie jacobine pour tomber dans les mêmes travers. Et, libéral affirmé,seul mon respect pour un successeur des Apôtres m’empêche de critiquer la pensée économique de Mgr Centène, comme la visite fort courtoise de SS.François à l’une des dernières dictatures totalitaristes communistes (pléonasme)du monde.
Les morts d’une guerre ne se résument pas à ceux tombés sur le champ de bataille, mais aussi à ceux qui meurent plus tard des suites de leurs blessures et des conséquences indirectes. Il est d’usage de réduire le nombre de victimes Bretonnes ayant payé leur tribut à la folie du monde. Ainsi, le nombre de morts au camp de Conlie en Mayenne est sans cesse revu, pour être réduit à peau de chagrin. De même pour les massacres perpétrés par Louis XIV. Pourquoi cela? Il faut en effet éviter que la population Bretonne prenne conscience de l’immense sacrifice que la Bretagne a faite pour la France, sans que cette dernière soit reconnaissante. Pire encore! Plus la Bretagne s’est donnée à la France, plus la France a mis en œuvre les conditions de sa destruction. On ne peut ainsi nier que, par exemple, la langue Bretonne a été énormément combattue, aboutissant à ce que nous avons constatons aujourd’hui: un génocide culturel et linguistique. Pourtant, la France est riche de toutes ses diversités. Mais la France a voulu l’ignorer. La France se fait le chantre du respect des différences, des droits de l’homme, mais n’a jamais respecté les peuples formant l’hexagone. Il n’est pourtant pas trop tard. Et commençons nous mêmes par avoir ce respect en ne minimisant pas le sacrifice des Bretons (et des autres) par un révisionnisme qui ne trouve aucune preuve historique.