Nedeleg laouen deoc’h a -berzh Skipailh Ar Gedour

Amzer-lenn / Temps de lecture : 1 min

La rédaction d’Ar Gedour vous souhaite un joyeux et saint Noël. Nedeleg laouen ha santel deoc’h !

Que dans le tumulte de la vie quotidienne, la joie de la Nativité du Seigneur vienne embellir les coeurs et rayonner sur le monde.  Comme le dit un célèbre cantique : “O noz heb par man dé ganet, é Bethléem, doustér ar bed, noz erbet ken ne vo gwélet ken kaer ha ker brudet” 

(O nuit incomparable où est née à Bethléem, la douceur du monde, nuit dont on ne verra plus d’aussi belle et d’aussi importante).

Nous pensons aussi à tous ceux qui passent Noël seuls ou loin de chez eux. A wir galon ganeoc’h emaomp.

À propos du rédacteur Eflamm Caouissin

Marié et père de 5 enfants, Eflamm Caouissin est impliqué dans la vie du diocèse de Vannes au niveau de la Pastorale du breton. Tout en approfondissant son bagage théologique par plusieurs années d’études, il s’est mis au service de l’Eglise en devenant aumônier. Il est le fondateur du site et de l'association Ar Gedour et assure la fonction bénévole de directeur de publication. Il anime aussi le site Kan Iliz (promotion du cantique breton). Après avoir co-écrit dans le roman Havana Café, il a publié en 2022 son premier roman "CANNTAIREACHD".

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Un commentaire

  1. Nedeleg joeius d’an holl !

    Il y a quelques jours, je suis passé visiter ma chère voisine de 92 ans qui m’a rappelé l’antique tradition de « Tosenn an Nendeleg », la bûche de Noël :
    La nuit de Noël, le patriarche, le plus vieil homme de la famille (« Er boulom koh ») plaçait solennellement dans l’âtre un énorme billot de chêne qui devrait brûler pendant la nuit de Noël et tout l’octave (eihvet an Nendeleg).
    Tous les enfants et les femmes étaient à genoux en silence pendant que l’homme aspergeait d’eau bénite le foyer en attendant d’écouter les vieux contes de Noël.
    Et malheur à l’enfant distrait qui rigolait pendant cette solennelle liturgie familiale !

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