À propos du rédacteur Eflamm Caouissin

Marié et père de 5 enfants, Eflamm Caouissin est impliqué dans la vie du diocèse de Vannes au niveau de la Pastorale du breton. Tout en approfondissant son bagage théologique par plusieurs années d’études, il s’est mis au service de l’Eglise en devenant aumônier. Il est le fondateur du site et de l'association Ar Gedour et assure la fonction bénévole de directeur de publication. Il anime aussi le site Kan Iliz (promotion du cantique breton). Après avoir co-écrit dans le roman Havana Café, il a publié en 2022 son premier roman "CANNTAIREACHD". En 2024, il a également publié avec René Le Honzec la BD "L'histoire du Pèlerinage Militaire International".

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2 Commentaires

  1. Merci de diffuser ainsi ce trésor ! Grâce à vous, des milliers de personnes vont peut-être lire ce qu’elles n’auraient pas eu l’idée d’aller consulter !
    Meuleudi da Zoué !

  2. Je ne partage pas votre enthousiasme, monsieur l’abbé.
    Cette exhortation apostolique ne fait qu’ajouter encore davantage de confusion chez les catholiques qui n’en n’ont pas besoin.
    Sans parler du style déplorable mâtiné de casuistique jésuistique brouillonne, où l’on peut trouver toute chose et son contraire, ce document laisse tout de même un malaise.
    Quand nous avions été habitués au style et à la théologie limpides de Jean-Paul II et de Benoît XVI qui nous guidaient dans la vérité, nous nous trouvons face à un texte certes de compromis, mais où chacun peut y trouver ce qu’il cherche. D’où la gêne de nombreux commentateurs catholiques (même des cardinaux et des théologiens) qui se sentent obligés de rajouter qu’il faut le lire « selon l’herméneutique de la continuité et non de la rupture » Ce qui devrait être normalement une évidence pour tout document du magistère ordinaire…. sans compter que cela laisse de l’espoir aux pires modernistes qui relèvent la tête, notamment sur les questions de la place des divorcés « remariés » face aux sacrements.
    Je ne remet pas en cause les bonnes intentions du saint Père empreintes de miséricorde, cherchant à voir au-delà des apparences vers les « périphéries » comme il aime à le dire, mais tout de même, après le fiasco du synode sur la famille qui a révélé aux média du monde entier avides de scoops la profonde division des évêques et du sacré collège sur la question, il aurait peut-être pu faire preuve d’un solide recadrage sur la doctrine du mariage et de la famille après les élucubrations des évêques et théologiens allemands (église la plus riche mais la plus vide du monde) et après la ferme démonstration pour l’attachement à la doctrine traditionnelle des évêques africains (continent le plus pauvre du monde mais aussi le plus joyeux et le plus riche en vocations, pour qui la famille est la principale richesse.

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