Voici le billet du Père Job an Irien, publié initialement sur le site du Diocèse de Quimper & Léon, et publié avec l’autorisation de l’auteur sur Ar Gedour.
On ti boutinNotre maison commune

Pe-seurt bed a fell deom ? Pe-seurt bed goude ar C’hovid 19 ? «Ne ’z-eus ket diou enkadenn disparti, unan endroel hag unan all sosial, med eun enkadenn hepkén, sosio-endroel kemmesket. An diskoulmou posubl a c’houlenn eur zell olleg evid enebi ouz ar baourentez, renta o dinentez d’ar re lakeet a-gostez hag er memez amzer diwall an natur… Liammet eo pep tra, ha gwarezi e gwirionez or buez hag on daremprejou gand an natur ne c’hell ket beza distag diouz ar genvreuriez, ar justis hag al lealded e-keñver ar re all !» Ha Frañsez da zisplega penaoz «an dizeblanted pe ar c’hrizder e keñver ar c’hrouadurien all euz ar bed-mañ a echu atao d’en em leda, e doare pa zoare, beteg on doare da veza gand an dud all. Unan eo ar galon, hag ar memez mizer a ra deom gwallgas eun aneval ne zale ket d’en em ziskouez en on darempred gand an dud all.»
«Morse n’on-eus gwallgaset kement on ti-boutin !» «Greom ma vo anavezet on amzer en istor ’vel hini an dihun d’eur stumm nevez da zougen bri d’ar vuez, d’eur mennad kreñv da dizoud ar padusted, d’eun hasta er stourm evid ar justis hag ar peoc’h ha da lid eüruz ar vuez !»

Quel monde voulons-nous ? Quel monde après le Covid 19 ? «Il n’y a pas deux crises séparées, l’une environnementale, l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnementale. Les possibilités de solution requièrent une approche intégrale pour combattre la pauvreté, pour rendre la dignité aux exclus et simultanément pour préserver la nature… Tout est lié, et la protection authentique de notre propre vie comme de nos relations avec la nature est inséparable de la fraternité, de la justice et de la fidélité aux autres». Et François d’expliquer comment «l’indifférence ou la cruauté envers les autres créatures de ce monde finissent toujours par s’étendre, d’une manière ou d’une autre, au traitement que nous réservons aux autres êtres humains. Le coeur est unique, et la même misère qui nous porte à maltraiter un animal ne tarde pas à se manifester dans la relation aux autres personnes».
«Nous n’avons jamais autant maltraité notre maison commune !» «Faisons en sorte que notre époque soit reconnue dans l’histoire comme celle de l’éveil d’une nouvelle forme d’hommage à la vie, d’une ferme résolution d’atteindre la durabilité, de l’accélération de la lutte pour la justice et la paix et de l’heureuse célébration de la vie.»
Je réagis à cet article !
Car le pape François semble oublier ,lui le vicaire du Christ que notre priorité est de sauver en premier ,les âmes « Allez dans le monde entier,instruisez et baptisez « Et en second, c’est de sauver les enfants à naitre ,Quand même…45 millions d’enfants tués ! C’est plus grave que la disparition d’espèces d’animaux et de plantes !
C’est cela qui devrait le plus ,nous faire réagir !
Dieu,Sauve ton peuple et béni ton héritage…