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CRUX FIDELIS INTER OMNES / Ô CROIX, SIGNE DE NOTRE FOI

Amzer-lenn / Temps de lecture : 16 min

jean paul II ploermel

La France républicaine, laïque, sur la voie de l’apostasie, portant sa christianophobie viscérale en étendard, nous la rejoue 1905 sur fond de vertus républicaines menacées par le cléricalisme et … la croix.

La croix, une « arme » si dangereuse pour la laïcité, la République, qu’il devient urgent de l’interdire. Cette France qui n’a rien renié des « idéaux » de 1793, ne peut donc souffrir les croix dans ses espaces publics, alors qu’elle nous sature de ses symboles républicains, de ses homélies républicaines, de ses Grands Ancêtres, de son Panthéon, de ses dogmes des « Droits de l’Homme », de ses lois qui s’opposent à celle de Dieu – le Décalogue – et de ses simulacres caricaturaux de liturgie républicaine.

Le récent rebondissement au sujet de la présence de la croix surplombant l’arche de la statue du pape saint Jean-Paul II à Ploërmel en est le dernier exemple. Les fanatiques dinosaures (pardon pour les dinosaures, bien plus intéressants …) de l’anticléricalisme, de la Libre Pensée (qui interdit de penser … librement), francs-maçons, communistes, anarchistes de tous poils, dévots du « bien vivre ensemble » et du « respect des convictions de l’autre », n’en resteront pas là.

La croix de Ploërmel qui n’a pas, selon eux, sa place dans l’espace public, pose problème, et rejoint ainsi dans l’opprobre les crèches de Noël et toutes les traditions religieuses et profanes liées à la Nativité. Eh oui !  C’est ainsi aujourd’hui : le berceau de la crèche et la croix du Golgotha, ces deux signes de notre foi, le Mystère de l’Incarnation et le Mystère de la Rédemption, dérangent tous ces nains de la pensée, de la politique, et ils en sont si fiers qu’ils entendent soumettre à leurs prétentions ce qui reste encore de société chrétienne. Au fait, ne serait-ce pas que, dans leur subconscient, la croix leur fait peur, et leur rappelle leur insignifiance ?

 Nous ne reviendrons pas sur les différentes péripéties qui ont amené à cette lamentable comédie républicano-laïque, et qui, à juste titre, ont soulevé l’indignation bien au-delà des frontières de l’ex-fille aînée de l’Eglise, qui, depuis bien longtemps, ne mérite plus ce titre glorieux. Cette comédie a eu l’avantage de réveiller, sinon beaucoup, du moins un peu, les chrétiens trop endormis, plongés dans les délices de la société de consommation, du nihilisme au quotidien, du soporifique « bien vivre ensemble », faux-nez de la lâcheté, de la démission, épée de Damoclès d’une christianophobie qui s’affiche désormais sans vergogne, et devient mode, devient loi.  Mais à trop en faire dans la christianophobie, il se pourrait qu’elle soit le soufflet qui attise les braises de la foi endormie des chrétiens. Du moins, espérons-le.

L’ancien maire de Ploërmel, Paul Anselin, et son successeur, Patrick Le Diffon, se sont opposés courageusement aux prétentions des quelques libres penseurs, pauvres hères rancis de l’époque du petit Père Combe et autres Jules Ferry. Cependant, les deux élus n’ont pas vu d’un très bon œil ce qu’ils ont considéré comme une récupération politique, un détournement de l’affaire par des gens, (pas tous cependant), qui habituellement n’ont rien de piliers d’églises.

Peut-on leur reprocher leurs réticences devant des soutiens, certes sincères, mais parfois encombrants ?  Ne vaut-il pas pourtant mieux, quelles que soient les motivations cachées ou non au fond des cœurs, se féliciter de cette prise de conscience, plutôt que de faire le difficile sur la qualité des manifestants, des alliés du moment, de prétendre à une sélection démobilisante ?

Après tout, chez tous ces gens dont une majorité n’a plus qu’une pratique religieuse ou des croyances « à la carte », voire plus de pratique du tout, la mobilisation n’est-elle pas l’aveu qu’il y a chez chacun d’entre eux des petites braises de foi, d’éducation chrétienne ignorée ou oubliée, qui ne demande qu’à être revigorées. On nous dira qu’il y a détournement politique par des politiciens, et que leurs discours de circonstance ne sont pas sans arrière-pensées.

Assurément, c’est bien le risque, mais qu’on le veuille ou non, cette affaire de croix est tout autant politique que religieuse ; elle est même idéologique ; c’est regrettable, mais c’est ainsi. La France républicaine, dont tous les idéaux se réfèrent à la Révolution, mène depuis deux siècles une guerre politique, une guerre idéologique, une guerre religieuse contre le christianisme, contre l’Eglise catholique. Si donc il y a détournement politique, il est d’abord chez ces héritiers de la Révolution, fidèles à eux-mêmes. Inutile donc de nier cet aspect politique du combat : ce serait une grave erreur.

AFFAIRE  CLASSEE ? CELLE-LA, PEUT-ÊTRE, MAIS TOUTES  LES  AUTRES QUI  VIENDRONT ?

Aux dernières nouvelles, l’affaire s’achemine vers une solution qui pourra satisfaire les diverses parties, y compris l’évêché, et l’intégrité de l’œuvre de l’artiste russe : vente et déplacement du monument sur un espace privé, ce qui aurait l’avantage de rendre pérenne cette décision, toutes contestations ou recours des opposants étant rendu impossibles. Le maire ne cache donc pas son soulagement

«Quand on voit le climat passionnel et de tension que cela a suscité, il est grand temps que cela s’apaise, dans le respect de la loi de 1905 ».

Fort bien ! Mais il convient aussi de ne pas inverser les responsabilités quant à ce « climat passionnel et de tension ».  Qui donc a suscité ce climat, sinon tous ces anti-chrétiens qui trouvent la légitimité de leurs combats contre le Christ, contre son Eglise dans ce climat christianophobe délétère, encouragé, cultivé par nos « élites » politiques, culturelles, économiques, l’ensemble des médias, sans oublier les silences coupables de trop de membres du clergé, des chrétiens eux-mêmes ?  S’imaginer que la croix de Ploërmel est une affaire classée, c’est aussi s’illusionner et méconnaître la nuisance destructrice, jamais satisfaite, de la haine de la Croix, de la haine du Christ.calvaire breton

N’en doutons pas il y aura bien d’autres « affaires » de ce genre, car elles ont pour finalité de préparer les esprits, même les plus rebelles, à accepter à terme l’inacceptable d’aujourd’hui, l’éradication pure et simple de tout ce qui symbolise le christianisme dans une Europe qui fut chrétienne. Une Europe qui a volontairement renoncé à tout son héritage chrétien pour se tourner vers de nouvelles spiritualités qui déjà s’affichent avec une ostentation conquérante, et qui sont en embuscade pour combler le vertigineux vide spirituel de nos sociétés. La laïcité n’étant que leur escabeau provisoire, qui sera jeté bas dès lors qu’elle n’aura plus aucune utilité, ayant ainsi rempli pleinement son office, éradiquer le christianisme, éradiquer la croix … comme sur de simples pots de yaourts grecs, une autre affaire récente de croix.

 

Voyez combien la fête de Noël est expurgée, même dans ses traditions profanes, de toutes références chrétiennes, récupérée par la société de consommation. Même dans certaines églises, on en vient à se demander si l’on fête vraiment la nativité, mais davantage une banale fête humaniste du bien-vivre-ensemble, faisant passer à la trappe le Mystère de l’Incarnation, qui mènera au Mystère de la Rédemption.

 

MANIFESTER, OUI, MAIS EN REVENANT A L’ESSENTIEL : AFFIRMER D’ABORD  LA CROIX

Notre époque, qui a perdu tout sens du sacré, du religieux, avec ses cortèges de drames, a institué une nouvelle liturgie pour satisfaire une religiosité sans consistance, sans transcendance, en perdition : ces « minutes de silence » qui semblent être une éternité, ces marches, avec gadgets faisant office de nouvelles icônes, ces fleurs à profusion, bougies, peluches, messages d’amour, et discours vides, sortes d’homélies où chaque phrase, chaque mot, chaque virgule sont calculés pour ne pas heurter, où tout un chacun doit pouvoir trouver de quoi apaiser ses peurs, ses angoisses … jusqu’à la prochaine fois. Aucune conviction dans tous ces étalages où la sensibilité larmoyante est manipulée, et qui sont le refuge des non-dits.

Est-ce si surprenant ?

Non, l’Eglise a hélas depuis plus de quarante ans jeté au rayon des vieilleries sa splendide liturgie, quand ce ne sont pas ses propres enseignements, pour faire dans l’humanisme façon ONG ; alors l’être humain qui est un être religieux par nature, s’invente de nouveaux rites et de nouvelles sacralités. Et c’est précisément là qu’il convient de repenser les manifestations futures qui, elles aussi, foisonneront de non-dits, et qui ne manqueront pas pour défendre les milliers de croix de nos campagnes, de nos clochers, de nos calvaires, nos statues de saints et leurs chapelles, nos églises vides, tout un patrimoine menacé parce qu’il ne vit plus de la foi, et qui semble être déjà le signe d’une civilisation blessée au cœur, qui est entrée en agonie et est appelée disparaître.

L’abbé Perrot, ce prêtre martyr de la foi et de l’amour qu’il portait à l’Eglise, à sa Bretagne profondément pétrie de christianisme, disait déjà en 1905 :

 « Les laïcards haïssent tellement la croix du Christ, que si nous n’y prenons garde, un jour viendra où ils exigeront, comme sous la Révolution, que l’on enlève, que l’on abatte les croix qui jalonnent nos campagnes, les calvaires de nos enclos paroissiaux. Nos croix sont là, devant eux, comme des doigts accusateurs de leurs forfaits, et cela, ils ne peuvent le supporter ».

Dessin de Rémy Bourlès paru dans le Ololê n°114 du 10/11/1943

Un avertissement « vieux » de 112 ans, qui est d’une étonnante actualité, tant cette haine connaît un regain de vigueur.  Il faut en être bien conscient, tous nos monuments chrétiens sont aujourd’hui en sursis par le fait de la perte de la foi, de la pratique religieuse, de la disparition du clergé, de l’indifférence religieuse entraînant tout naturellement à l’indifférence pour le patrimoine sacré. Une indifférence d’autant plus acceptée qu’elle sera présentée comme une ouverture vers l’autre différent, et cela non seulement au nom des valeurs républicaines, démocratiques, mais au nom de… l’Evangile. Certains chrétiens osent clamer que le Christ n’a que faire des vieilles pierres, que seules Lui importent les Pierres vivantes, c’est-à-dire les chrétiens, l’homme.

Nos églises ne sont que trop devenues les tombeaux de la foi et de l’âme religieuse bretonne : on y célèbre davantage d’obsèques que de baptêmes et de mariages. Alors défendre la croix, oui, bien sûr, mais commençons par remplir nos églises !  Ne dites surtout pas que cet avenir sombre est impossible, car tout devient aujourd’hui possible ; c’est seulement une question de l’espace d’une génération, le temps que la présente encore attachée aux « vieilles reliques chrétiennes » disparaisse, laissant la place à une génération complètement déchristianisée, complètement déculturée, complètement chloroformée. Une génération qui aura tout oublié de ses racines, de sa culture, de sa foi chrétienne.

Dans les coulisses des loges, des associations, des lobbies, des partis, des fausses religions, quand ce n’est pas au sein même de l’Eglise, on travaille très efficacement, sans état d’âme, sur cet avenir. Cependant, pour les ennemis du Christ, tout n’est pas encore gagné : la manifestation de Ploërmel, malgré ses insuffisances, en est une belle preuve, et ces diables qui s’agitent le savent, d’où leurs coups futurs qui seront plus forts encore.

 

DES  SLOGANS ? OUI, MAIS  D’ABORD, PRIONS  ET CHANTONS  NOS CANTIQUES : C’EST  PLUS  EFFICACE.

Lors de la manifestation de Ploërmel, il ne semble pas qu’il y ait eu au « programme » le désir de prier, de chanter qui aurait affirmé le caractère chrétien, et lui seul, de l’affaire.

Il y eut les discours, les slogans affirmant l’identité chrétienne de la Bretagne, de la France, que l’une et l’autre « étaient chrétiennes et devaient le rester », qu’il ne fallait pas « toucher à nos croix, nos calvaires ». Mais il y avait aussi le souci inavoué de faire consensus, que croyants et non croyants s’y retrouvent, là encore dans le souci maladif de ne pas heurter l’autre différent, tout le reste étant détail, sans importance, l’essentiel étant de sauver l’intégrité du monument, sa croix.

Nous sommes d’accord là-dessus, sauf que les croyants, même sur un sujet qui les concerne au premier chef, ont dû mettre de côté toutes expressions qui seraient apparues trop marquées … chrétiennes.  Encore est-il permis de se poser la question : combien de manifestants avaient la volonté, le courage, l’idée même de s’afficher par la prière, le cantique, occupant ainsi les temps de parole trop souvent, et volontairement, déconnectés du sujet.

En 1905, mais bien avant, nos Vendéens, nos chouans, n’avaient pas ces pudeurs frileuses d’oies blanches effarouchées. Ils manifestaient, ils gueulaient aussi, certes, mais ils priaient, ils chantaient, et cela était plus impressionnant que certaines rodomontades vite oubliées, et tours d’estrades d’orateurs de circonstance.

Imaginons une manifestation, (et nous disions qu’il y en aura dans l’avenir bien d’autres pour défendre telle croix d’un carrefour réaménagé , tel calvaire qui occupe l’espace d’un plus utile parking, telle église ou chapelle budgétivore parce qu’abandonnée et ruinée), oui imaginons une manifestation bien préparée où les manifestants entonneraient à pleins poumons des cantiques comme « Vive Jésus, vive sa croix », ou encore  notre très beau « Salud d’eoc’h iliz ma farrouz   (Salut à vous, église de ma paroisse), dont le troisième couplet nous fait chanter : « Bonjour à la tour qui porte à son sommet la Croix de notre Sauveur, signe du Chrétien, et où les cloches sonnent sur tous les tons en toutes circonstances » (traduit du breton).

Et, bien évidemment, notre célèbre Da Feiz hon Tadou Koz (A la Foi de nos Ancêtres), qui justement fut composé en 1905, époque où le gouvernement entendait bannir tous les signes chrétiens de l’espace public. Et pourquoi pas le Vexilla Regis prodeunt ; fulget Crucis mystérium (Les étendards du Roi s’avancent, la Croix rayonne en son mystère), à moins que l’on choisisse le Crux fidelis inter omnes – Arbor una nobilis (Ô Croix, signe de notre foi – Arbre noble entre tous) du Vendredi Saint.

Ou encore les acclamations carolingiennes Christus vinci – Christus regnat- Christus imperat. Et de conclure par un magnifique Salve Regina, ou encore le « très révolutionnaire » Magnificat qui promet de « renverser les Puissants » éphémères dont on connait toute l’arrogance défiant le Christ et sa Croix. Mais peut- être aussi le Parce Domine qui implore Dieu « de ne pas être irrité contre son peuple qui a péché » serait-il tout aussi approprié ?

Tous ces chants, qui donneraient le ton chrétien indispensable à de telles manifestations et qui fait trop souvent défaut, impressionneraient bien davantage que d’opposer, comme récemment à Ploërmel, le Bro Gozh à la Marseillaise, qui soit dit en passant n’était pas le chant le plus de circonstance en cette occasion. Disons-le… le Da feiz aurait été LE chant à chanter sur place.

 Vous penserez que c’est bien beau, que l’on est là dans le rêve. D’ailleurs… qui de nos jours connaît encore ces chants ?

Allons, allons, pas d’histoires.  Si une manifestation se prévoit, se prépare, des chants, des cantiques, des prières s’apprennent aussi ; il faut tout simplement en avoir la volonté, y croire et laisser de côté toute frilosité et le dogme du « respect de l’autre », car dans ces affaires, c’est d’abord le respect, l’honneur dû au Christ, à sa croix, dont il est question, pas du respect humain, cette forme polie de la lâcheté des bien-pensants.

Nos Vendéens et nos chouans bretons chantaient « Nous n’avons qu’une peur au monde, c’est d’offenser Notre Seigneur » : le ton était donné. Cela éviterait peut-être à l’avenir les éventuelles récupérations politiques, car c’est l’affirmation chrétienne qui primerait alors, dans une affaire chrétienne, sur les professions de foi républicaines décalées.  Si dans de telles manifestations on a pour souci de plaire à tout le monde, de faire consensus, alors on ne plaira à personne.

calvaire finistère
Pleyben (Photo Ar gedour- DR)

On ne désarmera pas les ennemis du Christ et de sa Croix avec des slogans faciles sortis des sables mouvants de la pensée.  Et rappelons que, si les chouans portaient si fièrement sur leur poitrine le cœur surmonté de la croix (le Sacré-Cœur), ce n’était pas pour faire joli, ce n’était pas pour afficher un « logo », mais bien pour affirmer leur foi et le nom de Celui pour qui ils se battaient.

La leçon de cette nouvelle affaire de croix permet un constat : la république et sa laïcité, leurs valeurs, leurs pompes et leurs œuvres sont, face à la croix, bien fragiles pour la craindre à ce point. Il est donc temps que les chrétiens comprennent la force de la croix, de chaque croix de nos campagnes, de nos clochers, de nos calvaires, de celle de notre baptême, de notre communion que nous portons au cou, de celle que nous avons dans notre maison, sur la tombe familiale.

La croix qu’il n’y a pas si longtemps toutes les fillettes, les jeunes filles, les femmes portaient avec leur costume breton, la croix faisant partie intégrante du costume. Mais, au nom de la « neutralité » des Cercles celtiques, on a recommandé de ne plus porter de croix.  Ainsi, les prétextes avancés pour éradiquer la croix sont toujours les mêmes, le respect de la laïcité, le respect des convictions (ou non-convictions) de l’autre.

 N’oublions pas une chose : aujourd’hui, de par le monde, des milliers de chrétiens sont persécutés et emprisonnés, meurent pour cette croix, comme jadis les Vendéens et les chouans bretons. Nous avons été avertis par les évêques et les prêtres de ces pays « où Dieu pleure », de prendre bien garde que dans un avenir proche le sort de ces chrétiens ne soit pas le nôtre. Quand nous allons manifester pour une croix, c’est aussi à cela que nous devons penser.

À propos du rédacteur Youenn Caouissin

Auteur de nombreux articles dans la presse bretonne, il dresse pour Ar Gedour les portraits de hauts personnages de l'histoire religieuse bretonne, ou encore des articles sur l'aspect culturel et spirituel breton.

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Un commentaire

  1. Signe des temps inquiétant, la croix dérange à ce point les zélateurs de la laïcité à plusieurs vitesse (qui sont plus tolérants quand il s’agit de l’Islam) qu’elle commence aussi à être combattue dans nos cimetières.

    https://la-nouvelle-gazette.fr/le-laicard-du-jour-est-a-saint-sulpice-le-gueretois/100633

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/11/22/01016-20171122ARTFIG00247-dans-un-cimetiere-de-la-vienne-la-croix-du-portail-fait-l-objet-d-un-recours-en-justice.php

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