Les livrets de famille rédigés en français et en breton délivrés par certaines communes du Finistère ne seraient pas conformes à la législation française. À Carhaix, on s’indigne…
[…] François Dresen, substitut du procureur, indique que la lettre ne demande pour l’instant qu’une « confirmation que la pratique existe » ainsi que des précisions sur la « position du maire ». Il indique par ailleurs que « les normes supranationales sur la protection des langues régionales et minoritaires ne sont pas transposables en droit français ».