Saints bretons à découvrir

Ar pevar Aviel war ar rouedad / Les 4 Evangiles en breton

Amzer-lenn / Temps de lecture : 2 min

Les évangiles en breton.

  • E brezhoneg
  • En français
Emañ Ar pevar Aviel war ar rouedad, war lec’hienn eskopti Kemper ha Leon. War ar pajenn digerriñ e ranker klikañ war « Se Ressourcer » > « L’Evangile en breton » – http://diocese-quimper.fr/se-ressourcer/l-evangile-en-breton

Un droidigezh bet embannet e 1982 gant Kenvreuriez ar Brezoneg Eskopti Kemper ha Leon an hini eo. Al labour-se a oa bet kaset da benn gant biblourien an eskopti, dindan renerezh an Aotrou n’ Eskop Visant Fave, eskop skoazeller, ha skivagner brezhonek.

Anv ‘oa bet d’ar poent-se d’ober un droidigezh evit al liderezh hag ar bastorelezh. Divizet oa bet ober gant ur yezh aes ha naet, feal d’an destenn gresianek orin, ha war un dro o talc’her kont eus blaz hor yezh.

Tro da zizoloiñ a-nevez Komz Jezuz Krist, bet o vagañ buhez kement-all a remziadoù a-dreuz an istor ha betek bremañ. Ur gomz evit hiziv!

  Les quatre Evangiles en breton désormais en ligne :

Bonne nouvelle ! Décidément, le Diocèse de Quimper & Léon nous offre bien des choses actuellement. Après la mise en ligne de la bibliothèque diocésaine, les quatre Evangiles en breton sont désormais en ligne sur le site du Diocèse, outil qui sera bien utile :

On y accède à partir de la page d’accueil, dans la rubrique Se Ressourcer > L’Evangile en breton – http://diocese-quimper.fr/se-ressourcer/l-evangile-en-breton

Il s’agit de la traduction publiée en 1982 par la Kenvreuriez ar Brezoneg Eskopti Kemper ha Leon (confrérie du breton, un groupe de prêtres bretonnants du diocèse) sous la direction de Mgr Visant Favé, ancien évêque auxiliaire du diocèse, et écrivain breton.

Cette traduction était à visée liturgique et pastorale, écrite dans ce but dans un breton à la fois simple et élégant, qui se veut fidèle à la fois au texte grec, et à la saveur de la langue bretonne.

L’occasion de redécouvrir la Parole du Christ Jésus, cette parole de vie qui a fait vivre des générations, et qui nourrit encore aujourd’hui!

À propos du rédacteur Eflamm Caouissin

Marié et père de 5 enfants, Eflamm Caouissin est impliqué dans la vie du diocèse de Vannes au niveau de la Pastorale du breton. Tout en approfondissant son bagage théologique par plusieurs années d’études, il s’est mis au service de l’Eglise en devenant aumônier. Il est le fondateur du site et de l'association Ar Gedour et assure la fonction bénévole de directeur de publication. Il anime aussi le site Kan Iliz (promotion du cantique breton). Après avoir co-écrit dans le roman Havana Café, il a publié en 2022 son premier roman "CANNTAIREACHD".

Articles du même auteur

15 a viz Ebrel : SANT PADERN, ESKOB

Amzer-lenn / Temps de lecture : 1 min Sant Padern a seblant bezañ bet ganet, …

[KERANNA] 400 personnes au pèlerinage des Bretonnants

Amzer-lenn / Temps de lecture : 2 minCe dimanche 7 avril, venus des cinq départements, …

5 Commentaires

  1. Quel sens ? Déjà nous ne pouvons qu’applaudir, comme nous l’avons fait, la mise à disposition numérique de la bibliothèque diocésaine. Les louanges allait dans le sens que bien des documents ne sont plus gardés dans des archives disponibles pour quelques-uns mais à l’ensemble de la population bretonne et mondiale. Un travail de transmission non négligeable ! Voilà la première chose.

    La deuxième, c’est que vous parlez de démagogie : AR GEDOUR est loin d’être un site démagogique, et les articles de ces dernières semaines sont là pour étayer notre propos.
    De plus, si vous regardez les rubriques (sans compter nos articles) à droite de votre écran, vous verrez qu’il existe des liens vers des sites et documents divers, que ce soit de Maodez Glanndour ou d’autres. Vous ne pouvez donc pas prendre juste ce qui ne vous convient pas pour juger notre travail et le traiter de « démagogie ».

    La troisième chose : nous nous doutions qu’en publiant cet article, cela chagrinerait certains. Mais nous travaillons à longueur d’année à faire en sorte que les batailles linguistiques et orthographiques, qui ont fait avorter de nombreux travaux et de nombreux projets, puissent enfin faire partie du passé. Nous utilisons donc au maximum le peurunvan pour des publications notamment à l’adresse des jeunes générations qui apprennent la langue bretonne à l’école, mais nous ne crachons pas sur ce qui fait partie de notre patrimoine, qu’on le veuille ou non.

    Nous mettons aussi en avant toutes les initiatives qui le méritent et dont nous avons connaissance. Et celle-ci en fait partie, ne vous en déplaise.

    Au lieu de critiquer des initiatives de ce type, il serait souhaitable qu’enfin émerge un Emsav catholique qui au-delà des divergences de vues et d’opinions pourrait enfin avancer sur des projets concrets. Rester chacun dans son coin pour faire sa petite sauce et mépriser les autres n’a aucun sens pour une volonté de construire quelque chose pour Dieu et la Bretagne. Vous voulez une base solide ? Commençons donc par là !

    AR GEDOUR travaille à dépasser les clivages et à casser les murs qui s’érigent parfois et l’efficacité de son action (sur le net et sur le terrain) se voit désormais en bien des lieux. Bien des gens nous font désormais confiance.

    De nombreuses personnes, une nouvelle génération (dont une bonne partie de notre équipe fait partie) , en ont assez de ces querelles intestines qui n’ont jamais mené à rien qu’à un certain découragement et à faire en sorte que bien des projets soient mort-nés.

    Pensez-vous que ces batailles ont fait avancer quelque chose depuis plusieurs dizaines d’années ? Pensez-vous que cela a servi ? Pensez-vous que cela ait rendu service à la Bretagne et aux Bretons ?

    Alors plutôt que de critiquer, faites-le de manière constructive et aidez-nous !

    Trugarez deoc’h !

  2. Traduction fidèle au texte grec ? En vérité c’est une traduction à partir du français.
    Voici ce qu’écrivait à ce sujet Maodez Glanndour :
    « Maz eus bremañ ken bras reuz e buhez an iliz eo dre n’o deus ar veleion kultur ebet ken, met deskamant hepken, ha c’hoazh peseurt deskamant ? Al lodenn vrasañ eus ar veleion a anavezan n’int ket gouest da gompren al latin implijet gant an iliz, ha petra a ‘ lavarin eus o anaoudegezh eus gresianeg an Testamant Nevez ? Beleion Kemper a soñj dezho bezañ graet un taol dispar o treiñ an avieloù diwar…ar galleg ! » Kregin-Mor p. 83
    Et bien sûr, le diocèse continue à utiliser l’orthographe du chanoine Falhun qui n’est plus employée que par quelques cryptocommunistes pour marquer leur opposition aux « nationalistes' » bretons. Quelle misère, quelle indigence intellectuelle et religieuse !.
    Alors vraiment, quel sens cela a-t-il pour votre site de chanter ainsi les louanges du Diocèse de Quimper. J’en ai vraiment assez de cette démagogie. On ne peut rien construire sans une base bien posée.

  3. Votre commentaire à ma réaction en appellerai bien d’autres, mais je vois que vous avez pris la mouche et je ne souhaite pas polémiquer. Votre positionnement ne me semble pas favoriser l’Emsav catholique que vous appelez de vos vœux. Croyez bien que je le regrette.

  4. Ar pevar Aviel de 1982 est publié sur le site du diocèse de Quimper et Léon avant tout dans l’orthographe qui était le sien lors de sa publication en 1982. Il y a d’abord un respect du choix de l’époque avant toute idéologie. Vous pouvez d’ailleurs remarquer que la page actuelle de la commission Foi et culture bretonne du site du diocèse de Quimper (http://diocese-quimper.fr/langue-et-culture-bretonne) comporte de plus en plus de peurunvan. La commission a fait le choix de respecter l’orthographe de chacun de ses membres pour, dans le même esprit que Ar Gedour, dépasser ces débats stériles.

  5. @Youc’hig :
    Sincèrement, connaissez-vous à l’heure actuelle d’autres qui font ce que font les membres d’ar gedour ?
    Savez-vous quelle est la portée de leurs publications ? Je transfère souvent la newsletter autour de moi, et je sais que ça touche des gens.
    On peut ne pas apprécier la totalité de ce que propose leur site, mais on peut au moins reconnaître qu’ils travaillent d’arrache-pied pour Dieu et la Bretagne . Et que, contrairement à d’autres, ils ne travaillent pas en solo mais créent des liens avec d’autres acteurs importants du milieu bretonnant pour avancer ensemble. Cela peut contribuer à une prise de conscience et à l’émergence de ce qu’Ar Gedour appelle un Emsav catholique.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *