Dans son discours auprès du Corps Diplomatique du Paraguay ce 10 Juillet 2015, le Pape François a évoqué certains points qui pourraient certainement être appliqués à la Bretagne. Ainsi, il dit que “dès ses premiers pas comme nation indépendante, et jusqu’à des époques très récentes, l’histoire du Paraguay a connu la terrible souffrance de la guerre, de l’affrontement fratricide, du manque de liberté et de violation des droits de l’homme. Que de douleur et de mort ! Mais la persévérance et la capacité du peuple paraguayen à se surpasser pour se refaire face à tant d’adversité et pour continuer à s’efforcer de construire une Nation prospère et en une paix, sont admirables.”
Citons notamment cette phrase “un peuple qui oublie son passé, son histoire, ses racines, n’a pas d’avenir.” Voilà pour les Bretons qui par ignorance ou volontairement, oublient leur passé, leur histoire et leurs racines, y compris ceux qui voudraient gommer les racines chrétiennes de la Bretagne. Car évidemment, sans le Christ, l’échec n’est pas loin. Il conclut ainsi : nous sommes appelés à nous préoccuper de la construction d’un monde meilleur (cf. Evangelii gaudium, n. 183).La certitude de notre foi en un Dieu, qui a voulu se faire homme et, vivant parmi nous, a voulu partager notre sort, nous y pousse. Le Christ nous ouvre le chemin de la miséricorde qui, fondée sur la justice, va plus loin et éclaire la charité, pour que personne ne demeure marginalisé dans cette grande famille qu’est le Paraguay, que vous aimez et que vous voulez servir. […]”
Ceux qui ne veulent y voir qu’une adresse au peuple du Paraguay se fourvoieront, car cela est valable pour nous tous, y compris les Bretons.
Précisons pour la culture générale de tous que cette phrase du pape François est empruntée à Karl Marx.
Sébastien, de quelle source tirez-vous votre citation ?
Sinon, nous avons :
“Un peuple qui oublie son passé n’a pas d’avenir” attribué à Winston Churchill
“Le passé amène l’avenir” attribué à Victor Hugo
“L’avenir est la seule histoire désirable” de … moi