Soutenez la réalisation du nouveau disque de la Maîtrise de la Cathédrale de Nantes consacré aux trésors de la musique sacrée romantique.
Ce deuxième enregistrement consacré à la musique sacrée de César Franck, Maurice Duruflé, Gabriel Fauré et André Caplet rassemble une collection de motets magnifiques soutenus par la harpe, le violoncelle et l’orgue. La Maîtrise a besoin de votre soutien pour ce nouveau disque enregistré par nos soins dans la magnifique chapelle de l’Immaculée à Nantes. Elle a donc lancé via Credofunding un financement participatif pour trouver les 2000 € restant. Nul doute que nos lecteurs aideront ce projet à aboutir.
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Synopsis
Depuis sa création en 2007 par le diocèse de Nantes, l’association Musique Sacrée à la Cathédrale de Nantes soutien le projet artistique et liturgique de la Maîtrise de la Cathédrale. Ces dernières années ont accompagné un travail régulier pour les enfants et adultes qui constituent aujourd’hui les chœurs de la Cathédrale: La Maîtrise de la Cathédrale rassemble ainsi plusieurs chœurs : d’un coté les plus jeunes de la Pré-Maîtrise et, concernant cet enregistrement: la Maîtrise, le Jeune Chœur et la Schola de la Cathédrale. Placé sous la direction d’Étienne Ferchaud depuis 2010, les chanteurs de la Cathédrale ont parcouru de nombreuses œuvres d’esthétiques et d’époques différentes. Ce disque célèbre humblement le chemin musical de tous nos chanteurs petits et grands engagés dans la diffusion de la musique sacrée aujourd’hui.
Panis Angelicus
Ce programme, conçu autour des Offertoires de Franck, propose une sélection des plus belles œuvres de musique sacrée de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Autour des voix du chœur et de la voix du ténor Gilles Ragon, ce disque rassemble un effectif instrumental original avec le violoncelle, la harpe et l’orgue qui ensemble ravivent les couleurs d’une musique noble et grandiose à redécouvrir. Ce disque révèle la belle trajectoire de l’histoire de la musique sacrée en France: de l’harmonie si riche de Franck et Fauré jusqu’au couleurs grégoriennes de Duruflé en passant par les touches impressionnistes propre à la musique d’André Caplet.