L’ABBE PERROT, UN TEMOIN POUR NOTRE TEMPS (6)

Amzer-lenn / Temps de lecture : 15 min

Voici la dernière partie de cette chronique proposée à l’occasion du 70ème anniversaire de la mort de l’abbé Yann-Vari Perrot, texte réalisé à partir de documents originaux et parfois inédits. Nous rappelons à nos lecteurs que toute utilisation autre qu’une citation partielle (mentionnant toutefois la source AR GEDOUR), ainsi que l’utilisation des documents iconographiques joints nécessitent une autorisation écrite de l’auteur et d’AR GEDOUR.

 

SA DERNIERE MESSE

La guerre est omniprésente avec ses cortèges d’horreurs, d’épreuves, et la haine qui souffle sur le Menez Are. L’abbé sait que de cette guerre, comme de celle de 1914 -1918, rien de bon ne peut en sortir pour la Bretagne. N’en a-t-il pas été ainsi avec la Révolution française, les guerres des deux Empires, des Républiques ? Les Bretons en sont à chaque fois ressortis, moins bretons, plus francisés. Thiers déclarera : « La Bretagne est le seul pays qui n’a rien gagné à la Révolution ! » (3 septembre 1877).

L’abbé Perrot n’ignore pas non plus qu’il est depuis longtemps victime des pires calomnies, de la haine des communistes qui ont colporté qu’il « collabore avec l’occupant ». Son nom avec l’acte d’accusation et la sentence (la mort) ont été placardé sur le monument aux morts de Scrignac.

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Sa servante Anna Le Douce, son vicaire l’abbé Quéguiner, ses amis intimes l’adjurent d’être prudent, il répond avec le même sourire qui accueillait ses visiteurs, « Vous verrez qu’un jour on me trouvera mort en revenant de l’une ou l’autre de mes chapelles ». Et d’ajouter :« Je voudrais mourir en disant mon chapelet, ou sur le chemin en accomplissant mon devoir de prêtre, comme Klaoda Jegou, le dernier recteur de Koat-Kéo, et non dans mon lit !…Un combattant doit mourir sur le champ de bataille ».

 

(ci-contre, découvrez un document inédit de l’abbé Perrot, sur lequel il exprime son voeu d’être inhumé à Koat-Keo, avec un petit croquis)

 

Ce 12 décembre 1943, jour anniversaire de la Saint Corentin, l’abbé Perrot tient à célébrer la messe dans la petite chapelle de Toull-ar-Groaz, distante de 8 kilomètres. C’est à pied, avec son enfant de chœur, le jeune Raymond Mescoff (11 ans) qu’il s’y rend, malgré les nouvelles mises en garde d’Anna Le Douce.

Six vieilles femmes et une jeune fille l’attendent : « Dans la chapelle froide, vide, le cœur brisé, il prie pour ses pauvres paroissiens, dont la flamme de la foi est éteinte, il prie pour la paix, pour ceux qui sèment la terreur et le crime dans le pays » (extrait de Ho kortoz a ran gant levenez, de H.Caouissin – 1944). Dans sa courte homélie il parle de Saint Corentin, mais comme par prémonition, il évoque le martyr de ses prédécesseurs.

 

Il est au pied de l’autel, il récite en alternance avec l’enfant de chœur le psaume de « l’Introïbo ad altare Dei » (J’irai vers l’autel du Seigneur).

Mais à ce stade de notre récit laissons parler le très beau texte (voir iconographie ci-dessous, texte original latin-breton) qu’a écrit Herry Caouissin le 12 décembre 1944, pour l’anniversaire de l’assassinat : « Ecce Sacerdos Magnus » (Voici le grand prêtre). S’inspirant de «  l’Introïbo », il nous fait partager l’intimité de l’âme du prêtre qui souffre et se confie à son Seigneur :

 

« Pour la dernière fois, le Maître célèbre la messe dans une petite chapelle silencieuse des campagnes de Bretagne – Dans cette maisonnette de prière, élevée à Messire Corentin, que le prêtre vaillant avait arraché aux mains impies, il y a treize ans !

– Une fois encore, il chanta l’office du Patron de la Cornouaille.

– En présence de sept fidèles seulement, le pauvre prêtre monta à l’autel le cœur affligé :

Pourquoi suis-je dans la tristesse, opprimé par mon ennemi ? Pourquoi êtes- vous triste mon âme ? – Pourquoi me donnez-vous de l’angoisse ?. Il était très angoissé ce jour-là, en vérité. Mais son coeur trouvait encore la force de chanter avec ardeur : Je chanterai votre louange sur la harpe, mon Dieu !

Et avec force il loua Messire Corentin, lumière de la foi en Cornouaille. Voici le grand prêtre qui plût à Dieu toute sa vie. Avec des larmes dans les yeux, comme St Yves jadis, il offrit l’Hostie, la Victime. Combien de fois durant son dur sacerdoce n’avait-il pas porté à ses lèvres saintes le calice sacré, et but avec délice le sang divin !…

Calice de réconfort, de force nouvelle pour lui, lui qui devait boire chaque jour un autre plein de fiel, jusqu’à la dernière goutte !

Puis de son verbe fort, il chanta le Pater, suppliant et résigné, comme son Maître, Messire Christ, il prononça ces mots : « Fiat voluntas tua » ; c’était sa dernière messe. (Traduction française)

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L’abbé Perrot vient de renouveler le Sacrifice de la Croix, il a accompagné le Christ dans sa montée au calvaire.

«Ite Missa Est » : La messe du Christ est dite. Il ne se doute pas qu’en cet instant, c’est la sienne qui commence. Il a été condamné à mort par les « grands prêtres » de la haine de Dieu et de l’âme d’un peuple, et ceux-ci vont passer à l’acte… C’est le Christ qui va maintenant accompagner son serviteur dans son chemin de croix jusqu’au sacrifice suprême du martyr..

VERS LE MARTYRE

abbé perrot,yann vari perrot,koat keo,christianisme,bretagne,feiz ha breizhSon assassin désigné pour accomplir la sentence l’attend. Son intention était de le tuer durant la messe, mais un contre-temps lui fera changer son plan. Ronan Caerléon, se rappelant de la pièce « Meurtre à la cathédrale » de T.S. Elliot (1945), prestigieuse évocation de la mort de Thomas Becket, archevêque de Cantorbery, assassiné par les courtisans de Charles II d’Angleterre au XII ème siècle, fera le parallèle entre ces deux crimes : « Spontanément, nous fîmes un transfert de personnage : Thomas Becket symbolisait pour nous Yann-Vari Perrot, notre martyr : meurtre dans la cathédrale, meurtre au seuil d’une vieille chapelle bretonne… » ( extrait de « Libres Propos d’un fils spirituel de l’abbé Perrot. Février 1986).

Le recteur chemine en disant son chapelet, interrompu par les jeux et les questions (en breton) du petit Raymond. Ils sont à mi-chemin du bourg, soudain un premier coup de feu, le recteur s’arrête et se demande ce que c’est. Un deuxième coup, le prêtre est mortellement atteint à la tempe, il s’écroule, l’enfant de chœur s’évanouit. Par ce meurtre, les communistes tiennent leur vengeance, habillée du « patriotisme » de la Résistance des Francs-Tireurs Partisans. Il est midi, l’Angélus sonne au clocher du bourg. Il va rester là, à agoniser près de deux heures, étendu dans sa célèbre cape qui s’est teintée de son sang et de la boue du chemin.

Sa servante Anna Le Douce, dans une lettre émouvante (21 mai 1945) témoigne : « Il était midi et demi, lorsque monsieur le vicaire arrive à la maison, blanc comme un linge, il me dit, « Monsieur le recteur a eu un coup de revolver. J’ai demandé où il était ?  Il répond : dans la descente de Lanniron. Je suis partie en courant, et en demandant à Notre-Dame de Koat-Kéo de le sauver. Arrivée à 2 kms du bourg, je le trouve là, au bord de la route baignant dans son sang. Je demandais toujours à N.-D de Koat-Kéo de le sauver, et comme je demandais cela très fort, il y avait là des personnes qui riaient. Comment avoir le cœur de rire de voir ce saint prêtre étendu par terre, sa canne et son bréviaire à côté de lui, et sa barrette trempée d’une chose horrible… » Un témoignage émouvant, rappelant la parabole du bon samaritain.

 

Ainsi, l’abbé Perrot est assassiné sur le même chemin et au même endroit, en disant son chapelet, comme l’abbé Jégou, cent cinquante ans plutôt, et des gens, là, en spectateurs, indifférents, rient de son agonie, comme d’autres riaient au pied de la croix sur laquelle agonisait le Christ. Il ne se trouve pas un seul, charitable, courageux pour quérir un char à bancs, voir une simple charrette des fermes voisines pour le transporter au presbytère.

C’est donc une voiture allemande – le presbytère étant alors occupé par un petit Etat-Major qui avait réquisitionné les lieux – qui vers 14 heures le prend en charge (rappelons que des paysans locaux avaient indiqué le presbytère aux autorités allemandes qui recherchaient une grande maison et réquisitionnèrent la bâtisse). Une situation qui fera écrire n’importe quoi à de pseudo-historiens de mauvaise foi. Les communistes, à l’instar des révolutionnaires, à 150 ans de distance, viennent dans le même martyre d’unir l’abbé Perrot et l’abbé Jégou.

Il agonise toute la journée, et décède à sept heure du soir, à l’heure des complies, où l’on chante les psaumes, « abbé perrot,yann vari perrot,koat keo,christianisme,bretagne,feiz ha breizhMaintenant, O, Maître Souverain, Tu peux laisser s’en aller ton serviteur en paix », et « In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum » (Entre tes mains Seigneur, je remets mon esprit). Il est alors revêtu de ses vêtements sacerdotaux de la couleur rouge des martyrs, comme s’il s’apprêtait à dire la messe, et c’est ainsi qu’il est inhumé. La nouvelle de son assassinat provoque un choc immense. Tous ceux qui l’on connu disent avoir perdu leur père.

Immédiatement et unanimement ils le déclarent «  martyr et saint de la Bretagne ». Pour témoignage les très nombreux éloges et condoléances. Une vingtaine de « Gwerz » seront composées : toutes, exceptée celle du Frère Visant Séité, sont à ce jour inédites. Polig Monjarret composera une « Marche en l’honneur de l’abbé Perrot » (Bale Bleun-Brug) pour bagadou, inédite également.

Il serait intéressant de savoir si les Bagadou accepteront un jour, sans trahir son identité, de jouer cette « Marche ». De même, se trouvera-t-il un chanteur pour mettre à son répertoire une seule de ces magnifiques Gwerzoù ?…

 

Le mercredi 15 décembre ont lieu les obsèques en l’église de Scrignac : toute l’élite, à de rares exceptions, du Mouvement breton est présente. Monseigneur Duparc a tenu à bénir son recteur sur son lit de mort et à célébrer la messe. Il prononce aussi l’homélie. Son entourage, vu les dangers de s’y rendre, a tenté de l’en dissuader : il déclare, « Je présiderai ses obsèques, car lui au moins avait un idéal, ce n’est pas comme certains curés qui ne pensent qu’à jouer aux dominos »(sic), affirmant ainsi la haute estime dans laquelle il tient l’abbé Perrot.


abbé perrot,yann vari perrot,koat keo,christianisme,bretagne,feiz ha breizhLa cérémonie est solennelle, « imposante » comme jamais prêtre en eu, avec la présence de plus de soixante prêtres. Des obsèques, qui par la beauté des chants, sont à la hauteur et à l’image du prêtre breton hors du commun qu’il fût… Puis c’est le long cortège dont le silence impressionnant est seulement troublé par les pas du cheval et les roues du char à bancs dans lequel à été placé le cercueil, et qui se dirige vers la chapelle de Koat-Kéo où il souhaitait reposer. Pour la première fois depuis la Révolution, le glas sonne à Notre-Dame de Koat-Kéo.

Devant le cercueil, deux discours, l’un de Monsieur Pierre Mocaër, l’autre de Monsieur Dézarrois, représentant le Préfet Régional et le Comité Consultatif de Bretagne dira, « Vous veniez de célébrer, dans un oratoire par vos soins restauré, un office pour l’évangélisation de la Cornouaille » ; une dernière absoute, le chant du « Libera », tout est terminé. Les communistes ne reculant nullement devant l’abjection de leur crime, le signeront en accrochant à un arbre, sur la route de Koat-Kéo, un drapeau  rouge frappé de la faucille et du marteau. Les obsèques et le cortège auront été discrètement placé sous « haute surveillance », car le bruit courrait que les communistes Francs-Tireurs-Partisans voulaient profiter de l’occasion pour faire un carnage, afin d’en finir avec le Mouvement breton. Peu de gens de Scrignac, par peur et aussi par un sentiment de culpabilité, assisteront aux obsèques.

Le jeudi 27 janvier, le Comité Consultatif de Bretagne fait célébrer une messe solennelle en l’église Saint-Germain deabbé perrot,yann vari perrot,koat keo,christianisme,bretagne,feiz ha breizh Rennes, toute l’élite bretonne est à nouveau présente, ainsi que des représentants des diverses autorités et Corps constitués. Devant l’autel est disposé le célèbre tableau peint par Xavier De Langlais (ci-contre), commandé par Herry Caouissin, son secrétaire, au lendemain de l’assassinat. Une cérémonie, qui avec les obsèques, donne la mesure de l’immense notoriété de l’abbé Perrot dans toute la Bretagne et le monde celtique…Tous ceux qui étaient présent aux cérémonies de Scrignac, Koat-Kéo et Rennes témoigneront qu’elles furent celles d’un «homme d’Etat », mais plus encore d’un authentique martyr, d’un authentique saint.

Assurément, les communistes pensaient l’abattre, mais ils l’ont élevé au rang de martyr et de saint. Par leur crime, ils écrivaient la page la plus sacrée de l’Histoire de Bretagne du 20ème siècle, mais ils ajoutaient une page sanglante, une de plus, à la longue histoire de leur idéologie criminelle.

La Pologne, comme bien d’autres pays sous le joug communiste, a eu « son abbé Perrot » en la personne du père Jerzy Popiéluszko, assassiné le 19 octobre 1984 . Assassiné lui aussi en tant que prêtre, en haine de Dieu, mais aussi en haine de l’âme de tout un peuple. Il disait, « Mon cri est celui de ma Patrie ».Un cri qui faisait écho au « cri »de l’abbé Perrot pour la Bretagne dont l’identité était niée et combattue. Le père Popiéluszko a été reconnu martyr et saint par son peuple, les papes Jean-Paul II et Benoît XVI l’ont béatifié, en 2010, comme martyr de la foi. L’abbé Perrot est bien d’avantage qu’une figure historique, d’archives pour historiens, il est un homme, un prêtre, un martyr pour notre temps, un martyr (témoin) de la foi… En l’assassinant, les communistes ne s’y sont pas trompés. Ils l’ont assassiné autant en haine du prêtre qu’en haine du patriote breton, car les deux, comme sa devise, étaient un tout…

L’abbé Perrot aimait à rappeler cette « prophétie » qu’il avait recueilli des « Anciens » : « Celui qui élèvera une Maison à la Vierge en ce monde, la Vierge lui élèvera une maison dans l’Autre Monde ». « Et en vérité, lorsque vous avez frappé (l’abbé Perrot),  à la porte du Paradis  la Vierge Marie (Notre-Dame de Koat-Kéo) a dit à son Fils : « Par le sein qui vous a porté – Par le lait qui vous a nourri- Par les bras qui Vous ont bercés – Ouvrez  lui je Vous en conjure !. Et le Dieu mort en croix a répondu à sa Mère !. Qu’il soit le bienvenu dans mon Paradis, l’Apôtre de Feiz ha Breiz » (extrait de Ho kortoz a ran gant levenez).

Voici la fin de cette évocation, qui n’a pas pour but de retracer toute la vie et l’oeuvre de l’abbé Yann-Vari Perrot, mais montrer enfin un visage qui n’a que peu été mis en avant à travers les divers écrits publiés : celle du prêtre, qui plaçait sa mission avant tout autre sujet. Puisse  l’idéal de l’abbé Perrot se rappeler et parler encore aujourd’hui aux jeunes générations pour Dieu et la Bretagne. Evit Doue ha Breizh !

 

DECOUVREZ LES ARTICLES DEJA PARUS (cliquez sur les titres) : 

 

Chapitre 1 :  L’abbé Perrot contre toutes les idéologies

                               & Feiz ha Breiz, les deux identités de la Bretagne

 

Chapitre 2 :  L’abbé Perrot et la langue bretonne

Chapitre 3 :  Le patriotisme de l’abbé Perrot

Chapitre 4 :   Le restaurateur, le bâtisseur

Chapitre 5 :  Le rassembleur & Le Prêtre

 

SOURCES  ET NOTES :

Archives  abbé Perrot / Herry Caouissin / Ar Gedour. Cliquez sur les images pour les agrandir et avoir les indications correspondantes. Aucune utilisation du présent texte et des documents iconographiques ne peut-être faite sans l’accord écrit de l’auteur et du site « Ar Gedour ».

Il est évident que cet hommage à l’abbé Perrot n’a aucunement la prétention de retracer toute sa vie, toute son œuvre, ni de relater toutes ses pensées. Il se veut- être seulement un « survol » d’une vie extrêmement riche au service de la Foi et de la Bretagne, en espérant que cette évocation suscite un intérêt qui ne serait que justice.

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À propos du rédacteur Youenn Caouissin

Auteur de nombreux articles dans la presse bretonne, il dresse pour Ar Gedour les portraits de hauts personnages de l'histoire religieuse bretonne, ou encore des articles sur l'aspect culturel et spirituel breton.

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28 Commentaires

  1. Merci pour cette série très intéressante sur le Père Perrot.

  2. Trugarez à vous pour votre intérêt à nos publications !

  3. Une série qui résume bien l’engagement spirituel profond de ce prêtre, totalement dévoué à Dieu et la Bretagne. Merci à Youenn Caouissin pour ces articles, et à “Ar Gedour ” pour sa publication…

  4. Un bel aperçu de l’engagement “Feizh ha Breizh ” de l’abbé Yann-Vari Perrot, à l’opposé de l’image que certains pseudo-historiens essaient de lui prêter.
    “Doue Ha Breizh”: l’idéal de Georges Cadoudal “. “Feizh ha Breizh”: même idéal, pour cet abbé hors norme. Qu’il puisse non pas être seulement un homme du passé, mais un guide pour aujourd’hui et pour demain…

  5. Mon beau père Pierre Felix a prononcé sa promesse de louveteaux à CHATEAULIN en la présence de Jos LE DOARE, le jour même ou l’abbé
    PERROT a été assassiné à SCRIGNAC( le jour de la saint Corentin) .
    Pierre Félix a gardé toute sa vie une admiration inconditionnelle pour
    notre abbé PERROT. Il était son guide spirituel en tant que bretonnant.

    Merci pour ce travail de mémoire sur l’Abbé PERROT.

  6. mais vous ne dites pas si le meurtrier a été arrêté !

    et si il a été arrêté, a-t-il été condamné ?

    réponse sur mon mail svp

    • Bonjour.pour répondre à votre question,il y a longtemps J’avais lu que l’assassin était parti en Indochine pour faire la “guerre”contre qui ? Je ne sais pas. Mais son idéologie devait toujours être la même. Sentiment qui n’engage que moi.Et par chance il serait mort en Indo. Est ce vrai? Je ne peux pas le prouver mais ce dont je suis sûr C’est de l’avoir lu

  7. Il n’a jamais été condamné… du moins par un tribunal terrestre.

  8. personnellement je m’honore d’avoir connu Raymond Mescoff de Scrignac vetrs la fin des années 50

  9. Fé ha Breizh ha Breizh atao!

  10. DOCTEUR LOUIS MELENNEC. A PROPOS DES “HYSTORYENS” BRETONS QUI ONT FALSIFIE NOTRE HISTOIRE NATIONALE.

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    COMMENT ON ECRIT L’HISTOIRE ” CONVENABLE ” AU PAYS DES DROITS DE L’HOMME, PLUS ENCORE EN BRETAGNE : EN SACRIFIANT TOUT A LA HIERARCHIE EN PLACE, ET A SA PROPRE CARRIERE.

    Par quelle opération maléfique la France a-t-elle pu transformer les atrocités commises en 1789 et durant les années suivantes, en des exploits glorieux, célébrés par des ” universitaires ” que l’ont croyait honnêtes, mais qui se sont révélés d’authentiques idéologues menteurs et manipulateurs ? Comment a-t-elle pu transformer les criminels en héros, et les victimes en bourreaux ? Comment a-t-elle pu manipuler d’une manière aussi scandaleuse, par un lavage permanent des cerveaux des enfants des écoles, pour les transformer en moutons, en toute impunité ?
    C’est toute l’histoire de la Bretagne et de la Vendée en 1793 et en 1794.
    C’est une règle universelle. Le plus fort, non combattu par un contre-pouvoir aussi fort que lui, abuse de la situation, et écrase les faibles. Lorsque, de surcroit, ceux qui détiennent le pouvoir sont malhonnêtes, idéologues, délirants, malades mentaux, ou seulement déficients intellectuels – allusion non voilée aux pédalos et aux brêles qui, selon les excellentes formules popularisées par M.M. Jean-Luc Mélenchon et Straus-Kahn, qui désignent ainsi les membres du « gouvernement » de la France -, les populations sont exposées à la catastrophe. Plus elles ont été décervelées par la falsification voulue des « programmes » d’enseignement, plus elles sont vulnérables. Du passé faisons table rase : effaçons l’histoire de l’humanité et des Nations, nous allons pouvoir triturer les cerveaux des enfants tout à loisir : nous en ferons sans résistance des clones à notre image, malléables à merci, en un mot : des esclaves.
    Nous vivons cette phase terrible : la population française est sous l’influence des imbéciles. Pourquoi ne pas créer à leur intention un CAPES, un doctorat, une agrégation en imbécilité ? Comme les amibes, comme les rats, ils s’auto-reproduisent, ils seraient bien capables de s’auto-gratifier de ces titres ronflants.
    Mes écrits sur la falsification de l’histoire de la Bretagne ont été accueillis, pendant des années, par des horions, par cette catégorie de lecteurs qui, élevés dans l’hallucinante et criminelle théorie du ministère de l’éducation nationale, que l’élève doit tirer de lui même son savoir, et que ce sont les enseignants qui doivent se mettre à l’école de leurs élèves, dénommés « les apprenants » (sic!), totalement ignares en tout. Des « apprenants » qui ne savent rien, promulgués professeurs de ceux qui savent ! Dix mille ans de très belle civilisation humaine, si riche qu’on ne peut en voir le bout, effacée par le délire de quelques uns, qui n’ont d’ailleurs pas conscience de leur sottise.
    Notre belle jeunesse – à part quelques uns, surtout ceux qui ont eu le bonheur de fréquenter les écoles fréquentables, par exemple l’école alsacienne et les autres de même statut, qui accueillent nombre de fils et filles de ministres « socialiste » – ne sait plus lire, ni compter, ni écrire. Les coupables sont connus par leur nom : la « république » les laisse en liberté !
    Mon père n’avait pas dépassé le niveau du certificat d’études. J’ai retrouvé quelques unes de ses lettres : une écriture superbe, de la calligraphie, aucune faute d’orthographe, un très beau style, de très beaux sentiments. .. Où est-il donc le moulin de la galette, le tabac et le bistro du coin, chantait Fréhel, une bretonne bon teint ?
    Les plus bêtes, les moins instruits sont les plus agressifs, les plus prétentieux, et, comme me l’écrivait une de mes correspondantes, les plus méchants. Je classe les gens de Wikipédiouse parmi les plus sots et les plus prétentieux. (Je ne vise ici que cette petite secte qui s’est emparée de l’histoire de la Bretagne, ce qui, dans certaines élucubrations de ces « experts » d’un type très particulier, nous vaut jusqu’à une faute dans chaque ligne de leur savante littérature !)

    COMMENT ON DEVIENT « HYSTORYEN » EN BRETAGNE ET EN FRANCE.
    La ” mécanique “, pour être agréé comme ” historien ” patenté par le système en place, qui détient le pouvoir à un moment donné, est admirablement décrite dans un ouvrage publié par deux historiens éminents – honnêtes, eux – qui ont appartenu au système, mais qui ont eu le bonheur de ne pas succomber aux pressions iniques dont ils furent les cibles : lisez ce qu’ils écrivent, vous allez tout comprendre :
    ” Pour franchir les degrés de la pyramide, il faut satisfaire à des rites de passage : l’agrégation, la thèse de troisième cycle, le thèse de doctorat, ensuite, publier des « travaux » « remarqués » (c’est à dire conformes à l’idéologie dominante). L’auteur de ces travaux – celui qui les a écrits sous inluence – leur dénie toute valeur en eux-mêmes, et ne leur reconnaît qu’une seule fonction : ils permettent seulement QUE JOUE LA COOPTATION PAR LE HAUT. L’exercice de celle-ci appartient à UN PETIT NOMBRE DE MAÎTRES DE LA CORPORATION. De véritables propriétés, de petits « royaumes » se définissent en histoire, imposant à chaque chercheur de se ” domicilier ” dans un secteur précis. Les RAPPORTS DE POUVOIR entre historiens ont ainsi une influence directe sur le configuration du savoir historique ….” 
    Ce n’est évidemment pas le public ( = les lecteurs des livres d’histoire) qui influe sur la qualité, la valeur, la véracité des travaux de l’historien : ce sont les mandarins qui détiennent le pouvoir dans les milieux fermés de l’ “Histoire”,  qui commandent et imposent le discours qu’il est CONVENABLE de tenir :
    ” Ce sont les pairs qui apprécient la ” conformité ” du produit aux ” lois du milieu “, avant de lui conférer le label de la corporation, et de permettre à son auteur d’accéder au rang de locuteur habilité “ – c’est à dire d’interlocueteur docile, qui ne renversera pas la machine, et sur l’obéissance duquel on pourra comper, sa vie durant.
    (Guy BOURDE et Hervé MARTIN, Les Ecoles historiques, Paris, 1983 et 1997, Editions du Seuil, pages 352 et suivantes).
    Je confirme, en ma qualité d’ancien universitaire, que cela est vrai : manier la brosse à reluire avec talent et assiduité, ne pas s’écarter du discours convenu et convenable, sont des conditions indispensables pour accéder à la carrière, et pour gravir  les barreaux de l’échelle.
    La médiocrité intellectuelle, dans cette sorte d’exercice – vous avez bien lu : la médiocrité intellectuelle – est un atout souvent considérable, la “hiérarchie ” étant par là assurée, en accueillant en son sein préférentiellement cette sorte de personnages, de ne pas introduire dans le ” système ” des concurrents dangereux. Ainsi sont neutralisés les plus intelligents, ceux qui pensent, et qui, à cause même de leur savoir et de leur aptitude à créer,
    C’est ainsi que la carrière de Reynald SECHER fut massacrée avant que d’être commencée. Il en fut prévenu par son maître le professeur MEYER., avant même de soutenir sa thèse en Sorbonne. Cet homme honnête et droit ne pouvait se plier à ces règles hypocrites. Il en a beaucoup souffert, ayant une réelle vocation d’universitaire, et l’espérance de rendre de grands services à ses futurs élèves. Qu’il se console, s’il le peut : pour les gens intègres, il est UN HISTORIEN MAJUSCULE. Ceux qui se sont opposés à ses travaux, et qui l’ont persécuté, SONT DES NAINS. Il est tout de même effrayant, lecteurs qui n’avez jamais soupçonné cela, que des êtres humains tombent plus bas que la bassesse imaginable : massacrer la carrière d’un historien jeune et brillant PARCE QU’IL A OSE DIRE LA VERITE !
    C’est ainsi, je l’ai dit un grand nombre de fois, que fut écrite ” l’histoire ” de la Bretagne : fausse et falsifiée, non pas certes en totalité, mais sur des points essentiels, selon ce que les scribes qui falsifiaient cette histoire attendaient de leur complaisance, en récompense de la part de ceux qui détenaient le pouvoir, ou emportés par leurs fantasmes : les jacobins de Paris, centralisateurs à outrance, puis les marxistes, qui ont eu le vent en poupe jusqu’à leur destruction finale …. (Voir Mélennec, Mémoire de DEA, publié dans le site Errances, le trajet de nos grands historiens, qui ont dû ” composer ” avec le système, avec habileté, mais sans jamais sacrifier leur honneur de Bretons, au moins jusqu’à la Borderie. Et encore, sur la perversité du ” système ” qui détient le pouvoir en Bretagne.
    En Bretagne, nous connaissons par leurs noms ces « patrons » arrivés par l’intrigue des vieux courtisans, dans des postes dans lesquels ils ont fait pression sur les plus faibles, suscitant (souvent, pas toujours, qu’on ne m’accuse pas d’être injuste ; voir Lepage, Le Moal, Nassiet, maintes fois cités ici) des thèses sans intérêt, faisant pression sur les candidats pour « orienter » leurs recherches, des articles ineptes, jamais lus par personne, et tant d’autres sottises.
    Vous comprenez maintenant pourquoi, ceci s’ajoutant à la colonisation intellectuelle des Bretons, ces malheureux n’ont jamais eu jusqu’ici accès à leur histoire nationale.
    Confidence récente d’un agrégé-docteur breton, qui entendait, lui, jouir de l’absolue liberté intellectuelle, héritage de notre civilisation ; son « patron » a osé lui dire : « Je ne peux pas cautionner votre thèse, vos recherches ne vont pas dans le sens que je veux ». N’est-ce pas horrible ? Les deux interlocuteurs se reconnaîtront, et ils en identifieront bien d’autres. C’est bien fait pour eux.
    (Relire : Louis MELENNEC, De la trouille bretonne et de l’autocensure, et les centaines d’articles et de commentaires publiés sur la toile, car il est inscrit – honneur insigne -, sur une liste tout ce qu’il y a de plus noire. Savez-vous pourquoi ? Il ne ment jamais, crime impardonnable dans notre « république des droits de l’homme », le modèle insurpassé et insurpassable de l’Univers).
    …………………………

    LOUIS MELENNEC, dit « le bon docteur ». (Bon par nature, par héritage génétique et par éducation, mais qui ne peut s’empêcher de donner des coups à ceux qui le méritent).

    Le présent article, actualisé en juillet 2018, sera publié dans plusieurs sites et blogs, notamment celui créé par de jeunes Bretons, intitulé : « Les bonnes paroles du bon docteur Mélennec ».

  11. ABBE PERROT. LOUIS MELENNEC.

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    CE POURQUOI L’ABBE PERROT A ETE ASSASSINE : L’AMOUR DE SON PAYS, ET LA DIGNITE DE SON PEUPLE. (Extraits de l’Appel du peuple breton à toutes les nations de la terre).

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    La France ayant retrouvé un calme relatif après la folie révolutionnaire, des hommes au service du système réinventent l’Histoire, qui est enseignée par la “République” dans les écoles. La France s’arroge le droit insensé de s’intituler “nation”, tandis que le peuple breton, beaucoup plus ancien que le peuple français, est réduit à une sorte de magma informe, reliquat des grottes de Cro-Magnon, parlant un jargon inarticulé et quasiment incompréhensible. Les Bretons n’ont plus aucun accès à leur histoire nationale, ils sont victimes d’un véritable lavage de cerveaux; après avoir cultivé la fierté d’être Bretons, ils connaissent ce phénomène douloureux : la honte de soi. La langue bretonne est humiliée et persécutée, au profit de l’idiome présenté comme la langue des langues, l’Unique, l’Universelle, la Seule digne d’être parlée dans tout l’univers : le français.
    La langue et la culture Bretonnes sont l’objet d’un assassinat programmé, qui se poursuit encore. Dès la « révolution », dénommée « jargon », « patois » par les Français, elle est interdite dans les écoles, persécutée dans les églises. De nombreuses directives préfectorales attestent de la volonté d’éradiquer totalement notre langue. Le pouvoir français invente un concept insultant : les curés, s’exprimant en chaire dans la seule langue comprise de leurs fidèles, sont accusés de « faire un usage abusif du breton » ! Leurs salaires, versés par l’Etat, sous le régime concordataire, sont supprimés. Crime horrible : les enfants convaincus de ne pas parler suffisamment le français, baptisé « langue nationale », sont privés de la communion ; les malheureux, – ils n’en connaissent pas d’autres – sont punis ; on les oblige à se dénoncer mutuellement, à se moquer les uns des autres, en se transmettant un objet dénommé ” symbole” porté autour du cou, attestant de l’infamie d’avoir parlé la langue de leurs ancêtres. Les instituteurs, associés à cette oeuvre de bourreaux, sont encouragés à mettre en œuvre la corruption des mots bretons, afin que d’une ville à l’autre, plus aucun Breton ne se comprenne dans une autre langue que le français.
    Pendant qu’on assassine leur langue et leur histoire, les Bretons doivent apprendre par cœur, dans les écoles de la « République », que la France est l’inventrice des droits de l’homme, et que sa langue est la plus sublime que l’espèce humaine ait inventée. Ils ne sont pas admis à étudier leurs écrivains nationaux – on nie même qu’ils en aient, puisque selon les accusations françaises, ce peuple de poètes n’a ni littérature, ni grammaire -, mais seulement à étudier la littérature française qui, sous la plume de nombreux auteurs ( Hugo, Balzac, Prosper Mérimée, Zola…) n’ont pour la Bretagne que pitié, mépris ou dégoût : les Bretons sont une race inférieure, paresseuse, sale, puante, ivrogne, superstitieuse, bornée, n’ayant pour seules richesse que son jargon et sa boue.
    En 1900, le travail de lessivage des esprits est accompli : les cerveaux des Bretons ont été vidés de leur substance, on y a introduit une greffe cérébrale « made in France » ; leur fierté naturelle – décrite par tous les auteurs au cours de l’histoire, depuis le haut moyen- âge -, a fait place à la honte de soi. La population, comme tous les peuples acculturés, est complexée, devenue quasi amorphe, et a perdu sa créativité. Durant les guerres françaises, qui ne sont pas les siennes, la Bretagne est amputée de sa jeunesse, depuis la prétendue révolution française jusqu’à aujourd’hui : les Bretons servent de chair à canon.
    Durant la seconde guerre mondiale, la France étant sourde à leurs revendications les plus légitimes, quelques Bretons patriotes tentent de négocier avec l’Allemagne quelques libertés pour la Bretagne. Les premières émissions radiophoniques en breton, ainsi que les premiers cours de breton dans les écoles naissent dans ce contexte.
    Le régime du maréchal Pétain, en 1941, redoutant la renaissance d’un gouvernement breton indépendant, décide de procéder à une mutilation du territoire national des Bretons, en vertu du principe bien connu : diviser pour régner. Le pays comportait cinq départements ; le plus riche, la Loire Atlantique, breton depuis onze siècles, est détaché de la patrie-mère, afin de le dissoudre dans la France. Cette « opération », qui ampute le pays de son poumon économique, représentant aujourd’hui 33 pour 100 de sa richesse, a été reconduit en 2014, par le pays voisin, sans aucune consultation des Bretons, avec la complicité de nombreux « élus », en violation gravissime du droit international, qui interdit d’une manière impérative de réduire les territoires des nations premières sans leur consentement.
    Une énorme manipulation va suivre. Les Bretons ont été des résistants intransigeants durant la dernière guerre, ne s’identifiant ni de près ni de près ni de loin à l’occupant nazi, pas davantage avec le nazisme, idéologie que la plupart ne connaissent même pas : l’occupant est pour lui un ennemi, non une idéologie. L’épisode de l’Ile de Sein, qui envoie à Londres tous ses hommes valides, est universellement connu. Mais parce que quelques centaines de Bretons patriotes ont négocié en 1940 avec les Allemands le droit d’exister, après avoir été écrasés pendant des siècles par la France, le gouvernement français manipule l’opinion : les Bretons sont désignés comme les symboles de la collaboration avec l’Allemagne. On procède à des arrestations en série, à des épurations, à des exécutions sommaires, à des campagnes de presse culpabilisantes et ignobles, là où il s’est agi, en tout et pour tout, de faire rendre à ce peuple ce qu’on lui a volé : ses Droits et sa Dignité. Cette propagande aux dépens des Bretons, a été si délétère et si e cace, que le sieur Jean-Luc Mélenchon, il y a quelques années, a pu déclarer publiquement – sans en être encore puni -, que le breton a été la langue de la collaboration, laquelle fut faite exclusivement en français ! Même des gens que l’on croit d’intelligence normale ont été contaminés par ce discours inique.

    L’ amputation du territoire, maintenue après la guerre, donne naissance à une imposture, la création d’ une région “administrative” ne comportant que quatre départements au lieu de cinq, dénommée ridiculement “Bretagne” par la France. Le territoire le plus important – Nantes et sa région -, est inclus dans une région fantoche, dite « Pays de Loire ». L’ONU et les instances internationales, saisies par des Bretons, sont parfaitement informées de cet état de choses.
    Depuis, l’enseignement de l’Histoire dans les écoles et les facultés est toujours celui de la France. Les prétendus moyens pour protéger la langue bretonne sont calculés pour être mortifères ; chaque année, alors que la France autorise la pseudo-formation de plusieurs centaines de locuteurs effectifs, plusieurs milliers de locuteurs réels, bretons âgés, meurent, condamnant inéluctablement la langue à disparaitre à court terme. Les demandes de création de postes d’enseignement sont ignorés par les politiques et par les administratifs. Des enfants subissent des discriminations linguistiques – au regard notamment des prénoms bretons que veulent leur donner leurs parents. Tout ceci, malgré la condamnation de la France concernant les enfants Le Goarnig. La fusion de communes, ainsi que la création de nouveaux quartiers, a souvent pour e et de débaptiser des villes et des quartiers, en effaçant toute trace de leur identité bretonne. Des mesures multiples ont été prises à Nantes par des personnages connus pour «débretonniser » la ville et son département.”
    Le pays qui a fait cela est une nation barbare et méprisable.

    • Monsieur Melennec vous faites erreur en disant que c’est le Maréchal Pétain qui a emputé la Bretagne de la Loire-Atlantique… Renseignez-vous avant de répéter les mensonges des “historiens” que vous fustigez, vous risquez de décrédibiliser tous vos propos. Merci !

      • L’affaire est en effet complexe. Je suis PARFAITEMENT INFORME. Si j’expose l’affaire en dix pages, personne n’y comprendra plus rien. Il est nécessaire, parfois de présenter des versions raccourcies. J’y reviendrai, ET NE CRAINS EN AUUN CAS d’être DECRIBILISE. J’y reviendrai, mais SEULEMENT si cela est utile.
        Voyez l’excellent article publié par bretaigne-bretagne, si vous souhaitez en connaître plus.

        • Louis-Marie SALAÜN

          Oui je pense qu’il serait utile que vous reveniez sur l’amputation du territoire breton de la Loire-Atlantique. Je crois en effet important pour les Bretons d’abord que l’on désigne les vrais coupables, plutôt que d’accabler une fois de plus injustement le Maréchal Pétain (je ne dit pas cela pour vous, car de fait vous ne l’accablez pas, mais pour tous les pseudo historiens bien trop content de “bouffer du Pétain” une fois de plus).

          Peu importe ce que dira la vox populi, l’important est le triomphe de la vérité !

  12. LE NATIONALISME FRANCAIS : L’ECRASEMENT DES AUTRES CULTURES. LE NATIONALISME BRETON : UN MOUVEMENT DE LIBERATION NATIONALE.
    C’est au nom de ce nationalisme français méprisant, arrogant, orgueilleux, stupide, en un mot, que les quelques centaines de Bretons qui ont fait l’honneur à leur pays de porter haut les couleurs de leur culture, au prix de leur liberté, de leurs carrières, parfois de leur vie, ont été persécutés, jusqu’à ces trente dernières années. Combien ont-ils été, durant la dernière guerre mondiale, à tenter de défendre les intérêts de leur pays en s’alliant aux Allemands, sans partager, ni de près, ni de loin, les révoltantes thèses nazies ? Une infime minorité. Quelques dizaines ? Cent au plus ? Sûrement moins de mille.
    La collaboration française, elle, a été plus que largement compromise par l’adhésion à cette idéologie criminelle : des centaines de milliers de personnes, peut-être des millions, y ont souscrit, notamment par leurs sentiments violemment antisémites. Ce que l’on dénomme les » collaborateurs » bretons ont été, pour la plupart, des patriotes, qui n’ont fait alliance avec l’Allemagne – pays avec lequel la Bretagne n’a jamais eu de contentieux, contrairement à nos voisins les plus proches -, que parce que cette alliance leur permettait d’entrevoir un avenir enfin libre, et de vivre dans la Dignité leurs valeurs, leur culture, leur langue. J’ai partagé avec Bernard Le NAIL, directeur de l’Institut culturel de Bretagne (lettres dans mes archives) cette opinion : c’était une bande de pauvres bougres, qui ne connaissaient pour le plus grand nombre rien des thèses dites » nationales socialistes « , et qui ne savaient certes pas que leur mémoire serait prise en otage par les survivants des complices des goulags, tant en France qu’en Bretagne, jusqu’à aujourd’hui ( » Les écoles bretonnes Diwan, a dit un imbécile, sont une secte « ; le même : » La Chine accomplit au Tibet une oeuvre civilisatrice admirable «) . (Vous connaissez l’auteur de ces phrases saugrenues : il porte le patronyme de Mélenchon, l’homme qui a donné son nom à une série de néologismes, tels que mélenchonneries, mélenchonner, etc ..). (Lisez sur la toile, par Google : Jean-Luc Mélenchon, L’imbécile heureux, l’idiot inutile. Un délice).
    Ceux qu’on dénomme les « collaborateurs bretons », ont animé ce qu’on désigne ailleurs, partout dans le monde, un MOUVEMENT DE LIBERATION NATIONALE. Voila le grand mot enfin lâché, et qu’on ne peut plus, aujourd’hui que l’histoire des sinistres relations franco-bretonne est écrite, et diffusée dans le monde entier, infirmer.
    La collaboration française, elle, a été plus que largement compromise par l’adhésion à l’ idéologie criminelle des Allemands nazis : des centaines de milliers de personnes, peut-être des millions, y ont souscrit, notamment par leurs sentiments violemment antisémites.
    C’est au nom des erreurs de quelques uns, et de la manipulation très consciente des autres, que des campagnes honteuses sont encore menées dans la presse nationale française, contre ces quelques malheureux, qui continuent de servir de boucs émissaires et d’échappatoire aux vrais coupables, qui, eux ont été les complices moraux des assassins des cent millions de victimes du marxisme, à l’égal des idéologies nazies, et qui continuent à polluer les médias, à pervertir la vérité, et à échapper aux sanctions qu’ils méritent.
    Si nous en avons le loisir, nous publierons un jour quelques extraits des incroyables sottises que les instituteurs de la troisième république ont enseigné sur tout le territoire hexagonal dénommé » La » France, – avec quelques circonstances atténuantes, il est juste de le dire, car quiconque est décervelé malgré lui, ne sait pas les dégâts qu’il commet sur les jeunes consciences -, à leurs jeunes élèves, comme on enseigne dans les sectes dénoncées quotidiennement par les médias . Les excès peu ragoûtants de cet enseignement ont produit des effets désastreux. On verra bien, lorsque ces extraits seront publiés, combien a été agressive la politique française, et combien timides apparaissent nos bretons » nationalistes « .
    Le nationalisme breton a fait quelques victimes, c’est vrai. Nous regrettons sincèrement que certains de nos compatriotes aient cédé au désespoir pour en arriver là : la mort d’un seul homme est déjà une mort de trop. Cela serait-il arrivé si la France, au lieu de nous envahir, d’annexer notre pays, de détruire notre langue et notre identité, était restée chez elle, où nous aspirons, avec fermeté, la voir retourner ? Si elle n’avait pas sucé au fil des siècles nos richesses, nos ressources fiscales, notre marine, nos intellectuels, nos administrateurs, nos écrivains, le sang de nos jeunes hommes, en les enrôlant de force dans des guerres (les guerres d’Italie, de Hollande, de Louis XIV, de Napoléon Ier, de Napoléon III, de 1914 – 1918 (200 000 morts, plus d’un quart de la population active), de 1939 -1945, d’Indochine, d’Algérie … ). Notre peuple pacifique n’avait rien à faire dans ces conflits meurtriers, QUI N’ETAIENT, NI DE PRES, NI DE LOIN LES NÔTRES, mais ceux d’un peuple belliqueux, expansionniste, en guerre d’une manière pathologique contre tous durant presque toute son histoire.
    La Bretagne médiévale, sous le gouvernement de ses Ducs, n’a eu de cesse que de se tenir à l’écart, par une politique de sage neutralité, des guerres franco – anglaises. Le nationalisme breton compte à son passif quelques dizaines, peut-être un peu davantage, de morts. MAIS LE NATIONALISME FRANCAIS, SES GUERRES, coloniales notamment, a tué des MILLIONS D’ÊTRES HUMAINS en Europe et dans le monde.
    On verra bien, sans trop tarder, qui est coupable, et qui est victime, et si la Bretagne a lieu d’être satisfaite de la politique de ce pays, qui s’imagine nous avoir apporté la civilisation, comme aux nègres d’Afrique et d’ailleurs ).
    La stupide légende de la France, inventrice des Droits de l’homme, vit ses derniers moments : j’ai l’honneur d’avoir puissamment contribué à cette évolution, et de l’avoir largement précipitée. Un Alsacien m’a dit un jour : »Quel dommage, docteur, qu’il y ait la France entre nous ! » Je dis la même chose pour la Suisse, que nous admirons, et que nous considérons comme un modèle : la Suisse est une autre Bretagne, la Bretagne a vocation à devenir une autre Suisse, j’écris cela fréquemment dans mes chroniques politiques, pas seulement celle-ci. Citoyens Suisses, nous vous aimons. Si j’étais plus jeune, j’irai peut-être partager votre sort, dans vos montagnes, dans vos vallées, dans vos villes.

    LOUIS MELENNEC, dit « le bon docteur ». Exclu de tous les médias français, sans aucune exception, par la presse du pays hyperdémocratique dénommé « La France ».

  13. LE RÔLE DU MARECHAL PETAIN EN BRETAGNE. ADDENDUM.
    Je reconnais volontiers que le rôle de Pétain dans l’amputation de la Bretagne n’est pas ce que je connais le mieux. Pour autant, j’ai lu avec attention les articles que j’ai trouvés sur cette question, sans pouvoir trancher moi-même. Le nom de Clémentel ne m’est pas inconnu.
    Si ce que vous dîtes est vrai, vous avez un devoir de VOUS BATTRE pour imposer cette vérité. Cela soulagera bien des consciences, à commencer par la mienne.
    Je serai personnellement soulagé que l’on absolve le maréchal Pétain du crime qu’on lui impute : d’avoir séparé la Loire Atlantique de la Bretagne. Crime renouvelé par Hollande et les collabos bretons que nous connaissons par leur nom.
    J’ai écrit sur le maréchal Pétain le bref article qui suit, en réponse à une lettre du Pr Delpla. J’assume entièrement. Il a été publié en France dans un média connu, et supprimé immédiatement, avec le commentaire suivant : “ce texte du docteur Mélennec est supprimé d’une manière irrémédiable”. Vous voyez à quel degré de bassesse la France est tombée. La Bretagne aussi.
    Il a été publié en Suisse, en revanche, sans aucune difficulté :

    LOUIS MELENNEC, DIT « LE BON DOCTEUR ». 10 novembre 2018.

    ” Pour les merdias français, mon nom est interdit. Interdit de chez interdit.
    Si internet, et la presse étrangère n’existaient pas, je serai mort médiatiquement.
    Que voulez-vous : la France est le pays des doigts de l’homme !
    Voici pour vous amuser : Wikipédiouse a SUPPRIME MA BIOGRAPHIE !
    Mais elle est réapparue … en plusieurs langues, quelques jours plus tard ! dont l’une, à ce qu’on m’a dit … en CHINOIS MANDARIN ! (Je n’ai pas vérifié, à ce jour; mais j’ai des correspondants à Pékin !).

    http://louis-melennec.fr/2015/05/20/louis-melennec-biographie-non-trafiquee-par-wikipedia/

    Voici mon opinion sur Pétain : un héros, un plus qu’honnête homme. Avant comme après. On a tous été bien contents de l’avoir en 1940. Qui à sa place ? L’un d’eux a fui à l’étranger ! Le maréchal a accédé au pouvoir par le vote très majoritaire de la représentation nationale. Le pays aurait été massacré si l’on n’avait pas obtenu l’armistice. Nous n’avions plus d’armée. Quant à nos « généraux » et à nos minables politiques ! Il a fait ce qu’il a pu, ce pauvre vieux. Mais c’était un vieux renard, considéré et désigné comme tel par les Allemands : il attendait la libération, lui aussi, mais en combattant à sa manière. En France, pas à Londres. Il y a eu de déchets, c’est vrai. Le contraire était-il possible ?
    Sa condamnation à mort : bien pire qu’une HONTE.
    Je suis convaincu qu’il a été victime d’une injustice ignoble.
    Ai-je tort ? Ai-je raison ?
    En tout cas ; je suis honnête, et je revendique, sans faire la moindre concession à quiconque, d’avoir une opinion, strictement non copiée dans le discours unique à usage des imbéciles, désormais diffusé partout, avec notre argent en France, le pays de la Liberté !

    Connaissez vous cette anecdote ?
    A Vichy, avec son état-major, il parcourt les cartes. Un mouche se pose sur la carte : « Tiens ! Un Boche ! ». Avec son doigt : « Je l’écrase ! »
    Cette histoire résume toute la situation. C’est le fils d’un témoin qui me l’a racontée. Mais je la connaissais, depuis au moins cinquante ans ! Car j’ai lu le compte rendu sténographique du procès Pétain, avant même d’être entré dans l’adolescence.
    Que savent ceux qui vomissent dans les télévisions françaises ? RIEN, RIEN, RIEN. Ont-is acquis la lecture et l’orthographe ?

    Vous voyez que je ne suis pas au goût du jour !
    Mais la Vérité triomphe toujours !
    Donc, avec d’autres, vous je l’espère, je fais partie des meilleurs.

    http://louis-melennec.fr/2014/12/23/la-shoah-bretonne-un-nouveau-concept-vient-de-naitre-le-drame-breton-sexprime-enfin-par-des-mots-appropries/

    Je donne parfois – un peu beaucoup -, dans la provocation. Que voulez vous, lorsqu’on est exclu par les imbéciles, il faut inventer des stratégies. Celle-ci n’est pas nouvelle; et me convient assez bien : je n’aime pas les c… ! Vous non plus, je crois. Il faut en jubiler : si nous avions fait partie du troupeau, qu’est-ce qu’on se serait emm…..
    Et je choisis avec soin mes ennemis : ce sont mes meilleurs agents de publicité !
    Une fois bien « chauffés », bien « énervés », vous n’imaginez pas le mal qu’ils disent de moi ! Ils ne savent pas qu’ils sont passés, sans le savoir, à mon service. Et moi, je ris de leur sottise, et, comme je suis foncièrement BON, je les bénis. ILs me détestent, moi je les aime ! N’est-ce pas ce que commande l’Evangile ?

    Si votre livre n’est pas trop gros . .. je le lirai. Promesse de Normand !
    A 77 ans, je travaille encore 16 heures par jour !
    (Je rédige …. une thèse !!!!).
    Bien à vous.

    http://blog-louis-melennec.fr/2017/01/11/histoire-de-la-bretagne-pour-les-nuls-et-les-collabos/

    LE BON DOCTEUR MELENNEC, historien de la Bretagne”

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    Lorsque j’ai tort, je n’ai aucune peine à le reconnaître. Je remercie ceux qui me remettent dans le droit chemin. Et s’ils sont courtois, je les remercie. Je n’ai rencontré cette manière d’être que chez DEUX docteurs-agrégés de notre chère université bretonne. Ils ont confirmé ce que je savais de longue date sur le fonctionnement de notre université. Allez vous me croire ? Ils OSENT m’écrire sous leur nom authentique !!! Vous voyez que le courage existe encore en Bretagne ! Les autres se taisent; comme nos chers députés et sénateurs : c’est la plus grande honte de notre pays de Bretagne. je ne me console pas de toute cette lâcheté.

    LE BON DOCTEUR.

  14. LE MARECHAL PETAIN EST-IL RESPONSABLE DE L’AMPUTATION DE LA BRETAGNE ?
    Il semble que NON !
    Il était nostalgique des vieilles régions historiques.
    Lecture très recommandée par Louis Mélennec, dans l’excellent site Bretaigne Bretagne :

    https://bretaigne.wordpress.com/decret-petain-bretagne/

    Et aussi le livre remarquable de Hervé le Boterf :

    La Bretagne sous le régime de Vichy

    En revanche, Hollande a fait reconduire cette monstrueuse amputation en 2014, faisant perdre à la Bretagne 33 pour 100 de sa richesse nationale.
    Plus de vingt “députés” “bretons” ont voté cette amputation, pour les raisons que l’on sait : LA SOUPE, TOUJOURS LA SOUPE !
    Parmi les votants : M.M. Molac, M. Urvoas. Ce dernier est devenu ministre de la “Justice” pendant un an !

    Heureusement, Bretagne réunie (réunie, vraiment ?) a inventé l’arme absolue, une sorte de bombe atomique : une ballade à vélocipède à travers la campagne angevine, tourangelle et orléanaise, jusqu’à Paris.
    Qu’on se le dise : il y aura des crêpes, du cidre doux, on mangera des chataignes, et on fera la bamboula.
    Succès garanti : réintégration de Nantes dans notre territoire national !
    Les Bretons sont chez eux à Nantes depuis le traité d’Angers de 851.
    Voila au moins dix ans que j’ai adressé les textes de droit international à cette auguste association qui veut réunir la Bretagne : les Etats dits “centraux” ont l’obligation stricte et absolue de garantir et de protéger l’intégrité territoriale des nations premières, en même temps que de transmettre leur culture.
    Il n’y a de pire crime que d’attenter à l’intégrité de son propre pays.
    Vive la Bretagne des héros !

    • Louis-Marie SALAÜN

      Je rebondis sur votre dernier commentaire pour rendre justice au Maréchal Pétain. Effectivement comme vous le dites très justement le Maréchal était attaché aux anciennes provinces.

      La séparation de la Loire-Atlantique de la Bretagne devait être temporaire. Elle a été réalisée pour des questions de facilité de ravitaillement dans un contexte de guerre. Mais une fois la guerre terminée le Maréchal Pétain c’était engagé à rendre la Loire-Atlantique à la Bretagne.

      Seulement le Maréchal n’a pu le faire puisqu’il a été condamné de façon ignoble et placé en détention il fut traité non moins ignoblement.

      Voilà de quoi remettre les choses à leur place et surtout faire triompher la vérité quoi qu’il en coûte !

  15. A REHABILITATION DES BRETONS QUI ONT LUTTE EN 1940 mai LA LIBERATION DE LA BRETAGNE. (texte déjà publié dans par le site Bretaigne – Bretagne)

    LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE FAIT UN TABAC AU SALON DU LIVRE A CARHAIX, le 31 octobre 2016 . Le mot “collabo” a changé de sens : un virage à 360 degrés.La censure française est vaincue par la vérité historique.

    Ceux qui ont combattu la vérité, en connaissance de cause, sont punis.

    Tous étaient là : les vrais militants de la Bretagne, ceux qui aiment sincèrement leur pays, chaleureux et enthousiastes. Mais aussi les jaloux, les punaises, les collabos, les merdias achetés, les putains de la Bretagne. Une vraie fête !

    Etrange destin que celui de ce petit Abrégé de l’histoire de la Bretagne. On avait pensé l’intituler « Les crimes contre l’humanité commis par la France en Bretagne ». Ou encore : « La France, pays des non – droits de l’homme ». Mais l’Etat-tentacule, l’Etat-totalitaire, l’Etat-assassin de la liberté d’expression, l’Etat menteur était là, omniprésent, menaçant.

    Le temps a passé. Les nuages qui obscurcissent encore les cerveaux des Bretons se dissipent. En 2016, la légende de l’Etat démocratique qui a « inventé » les droits de l’homme est en miettes. Enfin ! J’ai apporté ma collaboration personnelle à ce déminage.

    A la « Libération » (libération de qui? Par qui ?), on a jeté en prison des Bretons coupables d’un seul crime : aimer leur pays, leur culture, leur langue, leur histoire. On assure qu’en 1945, tous les membres des mouvements culturels furent flétris, inquiétés, pour avoir osé parler leur langue bi-millénaire à la radio, travaillé à la restauration de leur culture et de leur héritage ancestral, et même, m’assure un témoin, pour avoir joué ostensiblement de la cornemuse ou de la bombarde pendant la guerre.

    Y a-t-il eu des salauds parmi eux ? Sûrement, comme dans tous les groupes humains, mais pas davantage.

    L’un de nos héros bretons, parmi les plus connus, Yann Fouéré, pour avoir défendu son pays natal – dans des termes d’ailleurs oh combien modérés ! – a été arrêté, comme tant d’autres, emprisonné, jugé. Il a dû s’expatrier en Irlande pendant de longues années. L’immense grammairien et linguiste Roparz Hémon, fut aussi arrêté. Des Bretons, admiratifs et reconnaissants pour son œuvre, donnèrent son nom, beaucoup plus tard, en 1988, à un collège, dans la ville du Relecq Kerhuon. Ce collège, après une campagne ignoble, a été débaptisé douze ans plus tard. On cite de cet auteur quelques phrases anti-sémites, alors conformes à la doctrine de l’Etat français, très condamnables sans aucun doute aujourd’hui, en particulier au regard de la défense des droits de l’homme, dont nous nous réclamons en permanence depuis toujours. N’oublions jamais cette justice qui nous a été rendue par Herbert Pagani, juif et fier de l’être, en raison des persécutions que nous avons subies : “les Bretons sont les Juifs de la France”. Soixante ans après la fin de la guerre, des fous ont encore proposé de débaptiser la rue Youenn Drezen, à Pont-l’Abbé, écrivain talentueux, qui a publié des œuvres remarquables en breton, notre langue bi-millénaire.

    Prenant prétexte des quelques Bretons qui se sont tournés vers l’Allemagne, de 1940 à 1945, non par sympathie pour les thèses nazies – qu’ils ne connaissaient même pas, pour la majorité d’entre eux -, mais par patriotisme, des campagnes haineuses se sont succédées jusqu’à aujourd’hui, orchestrées par les plus indignes, les héritiers moraux de la dictature la plus impitoyable de l’histoire humaine, qui compte à son passif plus de 100 millions de victimes. Ils osent encore se réclamer publiquement de l’héritage stalinien, dont le procès n’a toujours pas été fait. Certains des leurs ont commis des crimes ignobles en 1945, dénoncés par les médias récents, et jamais punis.

    En 1950, Roparz Hémon a écrit : « (…) : « pendant quatre ans, de 1940 à 1944, un vent de liberté passa sur la Bretagne ; chaque vrai Breton put travailler presque sans tracas, et la vie de l’esprit fleurit. Pendant ces quatre années-là les Bretons conscients apprirent qu’ils étaient capables de s’occuper de leur pays seuls, une leçon qu’ils ne sont pas prêts d’oublier. »

    Voila la vérité : la France a assassiné la langue bretonne, les Allemands, ennemis des Français mais non des Bretons, leur ont permis de s’exprimer dans leur idiome bi-millénaire, et à la culture bretonne de renaître.
    La Bretagne se serait passée plus que volontiers de toute complaisance envers les Allemands, si elle était restée libre, et si la France n’avait perpétré depuis les invasions de 1491, l’annexion de 1532, les massacres de 1789, 1793, 1794, des abominations qui comptent parmi les plus cruelles de l’histoire de l’humanité. Ces patriotes condamnés par les imbéciles sont parmi les rares Bretons qui ont eu le bonheur d’avoir accès à leur histoire nationale, au nom de laquelle ils ont combattu. Ils ont agi pour libérer leur pays, annexé, violé, pillé, colonisé, acculturé, insulté, privé de sa langue. Les accointances de ces Bretons avec l’Allemagne ont été directement induites par la France, seule et exclusive responsable des horreurs commises en Bretagne depuis l’annexion de 1532. La France a commis des atrocités en Bretagne depuis cinq siècles, surtout à partir de 1789; les Bretons n’en ont commis aucune en France pendant cette très longue période. Les hommes dont nous parlons ont agi pour dénoncer les crimes contre l’humanité commis contre leur peuple, et cet abominable racisme anti breton, qui s’exprime encore chaque année dans des injures non punies par les tribunaux français. (A lire, par les ignares incultes : injures anti-bretonnes).

    La culpabilisation de la Bretagne par la France, avec la complicité de Bretons ignares de leur histoire et héritiers des criminels staliniens, n’agit plus, et n’agira plus jamais : le livre bleu est passé par là.
    En Bretagne, le mot collabo, instrumentalisé par certains Français contre les Bretons, a changé de signification : malheur à ceux qui ont tenté d ‘interdire à ce peuple martyr de brandir et d’afficher son drapeau national. Savez-vous de qui nous parlons ?

    LOUIS MELENNEC

    les injures anti-bretonnes :

    https://www.google.fr/search?sxsrf=ACYBGNQoRo53StYhPEUpCuz83CwGuP_Kzw:1568309649828&q=mélennec+injure+anti+bretonne&tbm=isch&source=univ&sxsrf=ACYBGNQ

  16. LOUIS MELENNEC : LE LAVAGE DE CERVEAUX DES BRETONS. Articles sur l’Île de Sein, publiés dans plusieurs blogs et sites.

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    LES HOMMES DE L’ÎLE DE SEIN, tous formatés dans leur enfance, dans leur école, leurs cerveaux lavés et relavés par les hussards noirs de la « République », se crurent français, comme mon grand père, mon père, moi même jusqu’à trente ans, avant que je découvre l’histoire de mon pays, les invasions, les massacres commis en Bretagne par la France.
    Ils n’étaient pas plus français que moi.
    Puis, on les a exploités comme le symbole du patriotisme français, alors qu’ils avaient une patrie beaucoup plus prestigieuse que la France : LA BRETAGNE.
    Cette tromperie de tout un peuple, l’extirpation de sa culture, de sa langue, de ses racines fut une entreprise immonde, de la part d’un pays qui n’a cessé de mentir, et nous entraîne aujourd’hui dans le précipice par ses manipulations, ses mensonges, l’absolue NULLITE de ceux qu’il a eu le malheur de porter au pouvoir. La tuerie intellectuelle est pire que la mort physique.
    Nous avons été les amérindiens des Espagnols, les Indiens des américains, les Aborigènes des Australiens, les Juifs de la France : bref, un peuple trompé et abusé, en un mot : des PLOUCS.
    La fierté naturelle de gens de l’île de Sein, leur courage exceptionnel, forgé durant des siècles contre les éléments, leur rend difficile l’accession à la vérité. Mais leurs enfants y viennent, peu à peu.

    Dr LOUIS MELENNEC. LES HOMMES DE L’ÎLE DE SEIN, TROMPES COMME LES AUTRES, SONT AUJOURD’HUI MÛRS POUR LEUR VERITABLE HISTOIRE.

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    Ce texte, actualisé le 13 août 2016, a été adressé au maire de l’Île de Sein. Sans réponse, bien entendu : le courage n’anime pas tous nos élus, loin s’en faut. Mais en ce mois d’août 2016, tous les maires de Bretagne, sans exception, sont en possession du Livre Bleu de la Bretagne. S’ils ne l’ont lu, ILS LE LIRONT : on ne peut plus échapper à la vérité historique, ni aux abominations commises en Bretagne depuis cinq siècles. Les complices seront punis, c’est une certitude.

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    LES BRETONS EMASCULES, ESCLAVAGISES PAR LA FRANCE.

    » L’esprit des enfants naïfs est friable. Lorsqu’on les appelle à la guerre, ils sont prêts, ils ont ingurgité la leçon. C’est ainsi que la Bretagne laisse sur des champs de bataille qui ne sont pas les siens, 200 000 morts dans la guerre française de 1914, près de 100 000 dans la seconde guerre mondiale. Une saignée effroyable, dont nous ne nous remettrons jamais. Tout Breton a perdu dans ces guerres un ou plusieurs de ses proches parents. On a pleuré dans les chaumières bretonnes, mais nul n’a osé protester : ces morts inutiles nous étaient présentées comme glorieuses, ce que nous rappelaient chaque année nos maires bretons, devant les monuments dressés pour célébrer ces tristes souvenirs, aussi ignares de notre histoire que nous l’étions nous-mêmes. Le lavage des cerveaux, la destruction de notre identité, notre honte d’être nous-mêmes avaient atteint un tel degré de perfection, que nous ne nous apercevions de rien à l’époque : nous étions des ploucs, des vrais.

    LE CRIME ETAIT PRESQUE PARFAIT.

    C’est ainsi que les hommes de l’Ile de Sein, célèbres par le fort contingent qu’ils fournirent à Charles de Gaulle à Londres, après l’appel du 18 juin 1940, furent trompés par la propagande ininterrompue déversée sur eux par lavage des cerveaux, depuis 1789 : ayant perdu toute notion de leurs origines bretonnes d’outre-manche, totalement privés de tout accès à leur véritable histoire nationale, ils avaient – comme leurs pères, leurs grand-pères, leurs arrière-grand-pères – comme les miens et moi-même – été totalement intoxiqués, manipulés : ils se crurent français, et, se croyant français, ils répondirent à un appel patriotique, par conviction certes, et non sans courage – ce qui n’est pas nié -, qui ne les concernait pas; car leur nation – la Bretagne -, n’était en aucun cas la France.

    Voilà maintenant que la plupart connaissent leur véritable identité, et leur histoire. Ces hommes de la mer, aguerris et durs au mal par l’environnement terrible dans lequel ils vivent, sont des recrues magnifiques pour faire renaître leur pays, la Bretagne. Notamment pour réintégrer dans son territoire national Nantes et sa région. On attend qu’ils se montrent, cette fois dans le bon combat.

    On s’attendait, l’autre semaine, à les voir constituer une escouade, la banderolle « NANTES EN BRETAGNE » ayant été interdite dans des festivals bretons, pour aller rechercher chez eux les impudents qui ont OSE prendre une mesure aussi insensée, les trainer sur la place publique, les déculotter et leur administrer publiquement une fessée plus que magistrale. En y adjoignant ceux qui font la chasse aux drapeaux bretons, bien entendu.

    Les esclaves, accoutumés à leur condition servile, croient que l’esclavage est dans la nature des choses, et ont du mal à se débarrasser des marques au fer rouge incrustées sur leur peau : ce fait est connu, dans toutes les populations serves. Les Juifs en savent quelque chose, eux qui ont trainé cette condition pendant deux mille ans, et en gardent des traces dans leurs circonvolutions cérébrales. Avoir une « condition », quelle qu’elle soit, avoir la possibilité de se définir par rapport à quelque chose, crée l’illusion d’une sorte de « confort », même si cette condition est ignoble : voyez les parias de toutes les nations, en particulier ceux de l’Inde et du Japon.

    Les esclaves bretons, ayant intériorisé les insanités « hystoryques » qui leur sont infligées dans les écoles bretonnes sous « mandat » français – c’est à dire dans toute l’université, sous forte influence marxiste – fonctionnent mentalement sur ce schéma imposteur : la France est immortelle puisqu’elle n’a pas d’origine historique, puisqu’elle a existé de tous les temps ! Elle a tout inventé : la Liberté, la Civilisation, la littérature, la langue la plus belle du monde, quoi encore ? Pourquoi pas le fil à couper le beurre ? Les Bretons doivent donc se sentir honorés qu’on soit venu les chercher dans la fange dans laquelle ils baignaient, qu’on se soit incliné pour les cueillir dans le ruisseau, en primitifs qu’ils étaient ! Ils étaient les survivants de Cro-Magnon, la France généreuse, s’abaissant jusqu’à eux, d’animaux qu’ils étaient, en avait fait presque des êtres humains.

    Qu’on ne croie pas que nous écrivons ici des propos exagérés. Les insultes dont on agonit les Bretons, jusqu’à ces toutes dernières années, sont inimaginables. Voici quelques exemples répugnants, qu’on complètera en tapant dans Google ces deux mots : injures anti-bretonnes, au besoin en les faisant précéder du nom propres Mélennec, puisque nous sommes l’un de ceux qui tiennent cette liste à jour …..

    POUR LIRE LA SUITE : LOUIS MELENNEC, THEORIE DES NATIONS, LA NATION BRETONNE, UNE NATION ANTIQUE.

  17. LES COLLABOS BRETONS NE SONT PAS CEUX QU’ON PENSE. (Louis Mélennec, docteur en droit, historien, politologue).

    LE MOT “COLLABO” A CHANGE RADICALEMENT DE SIGNIFICATION EN BRETAGNE. ON LE DOIT A LA RESTAURATION, QUASI ACHEVEE MAINTENANT, DE NOTRE HISTOIRE NATIONALE.
    (Extraits du blog de Louis Mélennec).

    Beaucoup de gens pensent que la collaboration est un genre spécifique, apparu sous la seconde guerre mondiale, ne concernant que les Français qui ont apporté, à des degrés divers, leur concours aux autorités allemandes d’occupation.
    Il n’en est rien. De même que j’ai démontré que les Nations existent non seulement depuis la plus haute antiquité – et même depuis que les hommes vivent en groupes antagonistes, opposés inéluctablement par des conflits et des contentieux -, de même que j’ai rappelé, en accord avec tous les spécialistes de la discipline, que l’histoire des Droits de l’homme commence avec la vie en société (les premières traces écrites se retrouvent dans le Code d’Hammurabi; voir ce terme dans Internet) – ce qui a pour effet d’exclure péremptoiremnent la France des pays autorisés à se prévaloir du moindre rôle fondateur dans cette matière -, de même les phénomènes de  » collaboration  » – non encore, certes désignés par ce terme, en ces temps lointains -, se confondent avec l’histoire de l’humanité.

    Ce phénomène est simple : lorsque le pays envahisseur et occupant, ne détruit pas en totalité les populations locales – ce qui est la règle -, il a évidemment besoin de  » complices  » issus de cette population pour la gouverner, la maîtriser, l’exploiter…
    Ceux qui ont suivi nos publications ont assisté à un transfert – pensé et voulu – du contenu du terme  » collaborateur « , d’une catégorie de personnes à une autre catégorie, bien spécifique. Pendant plus de cinquante ans, au prix d’une manipulation éhontée, les Bretons ont été désignés, DANS LEUR ENSEMBLE, comme les successeurs des quelques centaines de malheureux qui se sont tournés vers l’Allemagne, durant la dernière guerre. D’ou ces propos imbéciles, tenus récemment par deux débiles parisiens :  » Derrière tout breton, je vois l’ombre d’un nazi «  (sic) et, au moment de la révision de l’article 2 de la constitution (française), cet infortuné de l’esprit, admirateur de l’action civilisatrice de la Chine au Tibet, pays martyre :  » je ne voterai pas la réforme proposée : LE BRETON EST LA LANGUE DE LA COLLABORATION  » (!!!!) (resic). On aura reconnu l’homme visé ici : il a cautionné le communisme, non encore jugé ; il persiste et signe.
    Aujourd’hui, le terme « collaborateur » est en voie de terminer sa mutation : maintenant que l’histoire de la Bretagne est rétablie et connue, les collaborateurs sont ceux qui rampent devant ceux à qui ils doivent leurs carrières en Bretagne et hors de Bretagne, les autres, ceux qui défendent avec honneur et une totale légitimité leur identité, sont devenus ce qu’ils sont : des Bretons patriotes. 
    Le mot nationalisme a aussi retrouvé sa vraie signification : le nationaliste breton est celui qui a conscience d’appartenir à un peuple spécifique, qui connait l’antiquité de ce peuple, qui est fier de son identité et l’assume pleinement, sans cesser d’être ouvert aux autres nations, cultures et identités, celles-ci méritant autant de respect que celui qui est dû à la Bretagne, et étant source d’enrichissement de l’humanité, non de rejet ou de dégoût. (Font exception : les cultures, sectes, religions ou autres qui prônent la destruction des autres, et, ouvertement, de les TUER).
    ………….
    On verra, aux termes des développements qui suivent – les définitions étant clairement exposées -, que la Bretagne n’est pas devenue une  » province « , c’est à dire une partie, une fraction naturelles de la France (comme l’enseignent encore nos éminents universitaires), mais bien une COLONIE, après la mort d’Anne de Bretagne, et que le processus, à défaut de se poursuivre dans les quatre départements du nord de la Bretagne, se poursuit actuellement avec une vigueur toute particulière, et d’une manière
    hypocrite autant que contraire aux Principes généraux du droit, comme au droit européen, dans le Comté de Nantes (alias Loire Inférieure, puis Loire Atlantique, par l’absurdité du colonisateur d’avoir substitué aux dénominations traditionnelles de nos régions bretonnes, des appellations aussi absurdes que ridicules, sans jamais nous avoir demandé notre avis, nous qui sommes les seuls légitimes propriétaires de notre pays ; ce qui a été sa manière de gouverner, en toutes choses, depuis que la révolution dite des droits de l’homme a remplacé le régime d’autonomie de la monarchie capétienne finissante par celui d’une implacable dictature politique, transformant les Bretons non en hommes libres, mais en SUJETS d’une république qui, de l’avis de tous ne connaît de la démocratie que le nom.
    Les « élus » bretons n’ont aucune autonomie de pensée, aucune liberté : ils sont pré-sélectionnés par le pouvoir de Paris, placés en position éligible, et « élus » aux termes d’ une comédie loufoque, parce qu’on sait qu’ils obéiront. Sinon, on les prive de « l’habilitation » pour les élections suivantes, et ils tombent dans un puits dont ils ne sortiront pas. Ainsi maintient-on à la Bretagne sa qualité de pays soumis, contre la volonté ferme, claire, arrêtée de toute la population, dont l’identité bretonne est la chair de sa chair,

    LIRE L’ARTICLE : LA COLONISATION DE LA BRETAGNE (article non achevé, mais opérationnel). http://louis-melennec.fr/2012/01/31/la-colonisation-de-la-bretagne-1532-2012-bref-rappel-historique/

    ET LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE. https://www.google.fr/search?q=livre+bleu+de+la+Bretagne+images&safe=off&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=2ahUKEwjkhp7I1sbcAhUCVhoKHfeuBwcQsAR6BAgGEAE&biw=1413&bih=715

    Article très largement diffusé – en dépit de la censure -, et adressé à de nombreux destinataires, dont l’éminent M. Mélenchon, et madame François Morvan, aux fins de rééducation en cours.

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