Saints bretons à découvrir

[TRIBUNE LIBRE] Réflexion sur une prose biliaire francophobe, stupide et inutile

Amzer-lenn / Temps de lecture : 17 min

Nous publions ci-après cette lettre ouverte de l’un de nos lecteurs après la publication d’une « lettre ouverte à la France » publiée sur les réseaux sociaux et reprise dans un magazine breton, et en écho au dernier article publié par Tudwal Ar Gov sur Ar Gedour.  Comme vous le savez Ar Gedour ne fait pas dans la politique mais, dans cette rubrique « Point de vue » ouverte à des opinions diverses qui n’engagent pas la rédaction mais leurs auteurs, nous publions cette tribune libre,  lettre ouverte de Yves-Marie Moridur à la lettre ouverte de madame LK, comme une invitation à réfléchir sur les questions sociétales, culturelles et spirituelles évoquées, ainsi que sur la manière de les aborder.

Il m’a été donné de tomber par hasard sur une « lettre ouverte à la France » due à un excès d’humeur biliaire d’une dame faisant dans le druidisme folklorique. La lettre ouverte est un procédé bien connu, qui a l’avantage d’être très souvent incisif, mordant, clair et précis,   qui implique un argumentaire sérieux, et qui en règle générale  fait dans le ton  diplomatique et courtois, ce qui rend la lettre plus crédible et intéressante… et retient l’attention du destinataire.  Las ! la dame en question, à savoir Madame LK, en guise d’arguments, nous inflige un flot vomitif  d’injures, d’invectives, de rancœurs, de haines recuites, de sectarismes  et de contre-vérités historiques  à l’égard de la France.

Nous savons que la francophobie comme la christianophobie est aujourd’hui de saison, sans parler de toutes les autres phobies envers tout ce qui relève de la civilisation européenne, des patries et de leurs traditions, du christianisme en particulier. Est-ce une raison pour se joindre à ces armées de cracheurs et de joindre nos crachats aux leurs ? Tout ce qui est excessif est insignifiant, dit-on. Or cette dame fait plus que de l’excès : elle entre dans l’outrance vulgaire. Elle prétend interpeller la France et ses dirigeants, mais elle ne leur envoie que le vent dispersant d’une pensée racornie.

Nous savons fort bien que la France a un contentieux historique, culturel, linguistique sérieux avec la Bretagne ; personne ne songe à le contester. Nous savons tout autant que son roman national ne colle pas vraiment avec le nôtre. Mais, après tout, quel est le pays qui n’a pas son roman national, souvent contesté par ses voisins ?

Nous Bretons, nous avons le nôtre, et nous n’aimons guère, à juste titre, nous le voir contester, surtout par la France qui l’a plus que laissé pour compte, voire nié pour mieux asseoir le sien.

 

Les Bretons et le train de l’Histoire

Mais là n’est pas présentement mon sujet.  Si  j’accorde quelques attentions au libelle de Madame K., ce n’est ni pour défendre la France, qui sait fort bien se défendre elle-même, ni pour donner  à cette bilieuse de l’écriture  une importance qu’elle n’a pas car, au fond, qui la connaît ?

Ce qui m’intéresse dans son accès d’humeur, c’est qu’il n’est que l’énième confirmation du manque d’élévation de tous débats  dans ce qu’on appelle pompeusement le milieu politique et culturel breton. C’est toujours le monde des pense-petit par défaut d’élites, que taraude une viscérale victimisation, attitude facile qui consiste à éluder ses propres responsabilités dans la marche de l’Histoire et de faire porter à la France nos propres échecs historiques. Certes, la France a des responsabilités que l’Histoire ne saurait effacer.

Mais est-ce la faute de la France si les Bretons ont une fâcheuse tendance à toujours rater les trains de l’Histoire, ou encore à se contenter de strapontins quand ils pourraient revendiquer un fauteuil ?

Est-ce vraiment la faute de la France si nous Bretons nous avons plus de propension à nous contenter de l’éphémère plutôt qu’à nous projeter sur la durée ?

Il n’en fut pourtant pas toujours ainsi  : en une époque où nous avions une véritable élite.

Quand d’authentiques élites bretonnes se sont battues pour que la Bretagne reste une terre chrétienne et bretonne, elles se sont trouvées combattues par la France et ses gouvernements mais aussi, et très efficacement, par des Bretons. Le résultat a été que des œuvres magnifiques, promesses d’avenir pour la Bretagne ont été sabotées. Dans ces cas- là, la France n’y était pour rien, mais profitait de la stupidité des Bretons.  L’abbé Gantois, prêtre Flamand,  constatant en 1935 la division des Bretons, disait :

« Ce qui me frappe surtout, moi qui ne suis pas breton, c’est l’amour des Bretons pour la contradiction et la division. Quand il y en a un qui fait quelque chose, il a aussitôt tous les autres contre lui »

 Dans les années 1950, Dom Alexis Presse dira à peu près la même chose :

« Quel malheur de constater à côté de qualités si précieuses des Bretons à entreprendre, à se donner pour des causes nobles, une tendance presque générale à l’individualisme, à la dispersion, à la critique stérile, à la division. En chacun des ressources admirables, formidables même d’énergie, de ténacité, impossible hélas à regrouper, d’unifier toutes ces potentialités, toutes ces forces pour un but commun. On formerait  pourtant un faisceau de puissance auquel rien ne pourrait résister ; à cela pas le moindre doute : mais qui formera ces élites bretonnes et chrétiennes dont nous aurons demain tant besoin, qui formera et maintiendra ce faisceau »

L’abbé Perrot qui fut un prêtre rassembleur, comme l’évoque Youenn Caouissin dans son livre « J’ai tant pleuré sur la Bretagne« , déplorera cette maladie chronique des Bretons, l’amour de la division et de la critique stérile. Et pourtant, son époque fut une époque riche d’œuvres magnifiques, que seule la guerre vint jeter bas.

 

Déficit d’élites et inflation d’égo

Aujourd’hui le Bretagne a un terrible déficit d’élites, mais une inflation d’ego administrant chaque petite chapelle qui ne manqueront pas de disparaître avec chaque protagoniste. Et l’Etat français n’y sera pour rien. Il n’est pas alors étonnant que des pense-petit, se prenant pour des oracles, viennent combler ce vide en parasitant et en décrédibilisant toutes les actions bretonnes dans laquelle on a l’imprudence de les accueillir au seul motif qu’ils se battent aussi pour la Bretagne.

Car pour quelle Bretagne se battent-ils ? Pour quelle efficacité ? Une Bretagne clone d’une France actuellement en pleine décomposition avancée, car elle aussi victime d’un parasitage d’idéologues qui ont confisqué son roman national comme elle confisqua le nôtre ?

Très charitablement, dès les années 1930, l’abbé Perrot disait de la France :

 «  Que si elle était tombée si bas, c’est parce qu’en elle toutes les vertus chrétiennes s’étaient éteintes les unes après les autres, et qu’elle risquait de ne plus jamais s’en relever » (cf J’ai tant pleuré sur la Bretagne)

Il ne se réjouissait pas du malheur de la France, il ne l’insultait pas. Il trouvait au contraire infiniment triste qu’elle en soit venue à l’apostasie. Et il ne voulait pas que la Bretagne, en épousant les mêmes idéologies de mort, y compris un néo-paganisme celtique, suive la même voie, car la Bretagne non plus ne s’en relèverait pas.

Les évêques bretons, ont tous tour à tour interpellé la France sur ses devoirs envers la Bretagne. Monseigneur Duparc, tel un père amoureux de sa Bretagne mais aussi de la France ne ménageait pas ses critiques envers elle, la rappelant à  ses devoirs, mais dans un langage de charité affectueuse et loin de toute invective. Nous pouvons ainsi nous reporter à sa célèbre homélie en la cathédrale de Vannes en 1932 qui résume  fort bien sa pensée :

« Alors mon pays la France, si tu veux une Bretagne digne de toi, pourquoi ne nous aides-tu pas à garder notre foi, notre langue, nos traditions ? Pourquoi lui refuses-tu les moyens de grandir encore elle-même par l’âme ? Tu veux dans la société plus de justice et de fraternité ? Tu veux la paix au-dedans et au dehors ? Où as-tu trouvé ce programme si ce n’est dans l’Evangile qui est la Lumière du monde » ?

En 1937, le Bleun-Brug éditera une plaquette « Les Droits et les Devoirs de la France vis-à-vis de la Bretagne », conférence de Monsieur Le Fur, professeur de Droit International à l’Université de Paris. Nous sommes là dans le haut de gamme de la pensée et du savoir. Nous sommes alors dans le concret, à des années-lumière Madame K. de votre affligeante prose. Et pourquoi ? Parce que nous avions une élite bretonne..

Madame, vous abreuvez la France d’épithètes grossières collectées dans quelques caniveaux,  espérant sans doute rendre votre propos irréfutable et sans appel : ainsi,  je vous cite,  « la France ne serait qu’une gargotière, une prostituée, une minable, petite, étroite, inculte, une criminelle et une menteuse se reposant sur des monceaux de cadavres. Elle serait aussi « une violeuse de femmes ». Vous affirmez encore qu’elle a « ses dessous sales », et « qu’ils n’ont rien de séduisant ». Je suppose donc que vous avez été  mettre votre œil et votre nez dans son intimité. Vous nous dites encore qu’elle est « un repoussoir digne seulement d’être aimé par la racaille qu’elle a engendrée en son sein».

De tous ces attendus, voyons ce que vaut le dernier. Je constate que vous ne poussez pas votre appréciation jusqu’à préciser quelle racaille vous prétendez ainsi désigner : est-ce donc la racaille des banlieues qu’un certain Sarkozy voulait nettoyer au kärcher, pour finalement se contenter d’un plumeau ? Non, évidemment, car nommer cette racaille, c’est prendre le risque de recevoir en pleine figure d’autres épithètes : inutile de vous les préciser.

Ou est-ce la racaille politicienne en col blanc, apatride, niveleuse des patries qui enfante des lois mortifères, immorales, qui nie les racines, l’âme chrétienne de l’Europe et la mène au néant dans lequel disparaisse les civilisations qui sont fatiguées de vivre ?  « La France a ses dessous sales » dites-vous, mais êtes-vous si sûr que la Bretagne a aujourd’hui les siens si propres ? Permettez-moi d’en douter, quand on voit à quel point elle se vautre avec délectation, elle aussi, dans le lit des idéologues, et que c’est avec une jouissance mortifère qu’elle se donne à des politiciens apatrides qui la stérilise de son âme chrétienne et bretonne pour la dissoudre dans une bouillie cosmopolite ne respectant pas les peuples et leurs cultures.

Vous nous direz que si cela est, c’est bien la faute de la France. Certes, dans une certaine mesure, sauf qu’un peuple n’est pas obligé, et cela vaut pour tous, de reconduire ceux qui veulent sa mort. On a les dirigeants, les élites et les héros qu’on mérite. Prenez conscience, Madame, que ces politiciens n’ont qu’une idée en tête  : la mort des patries.  « Le dernier verrou à faire sauter, c’est la Patrie », a dit depuis longtemps Rockfeller. Nous y sommes, et ne croyez pas que la Bretagne y échappera en vomissant sur la France, victime elle aussi de ce projet d’holocauste.

 

Le Breton qui n’est jamais en retard d’un vice à la mode fait, sans s’en douter, dans la brittophobie : preuve en est sa propension à épouser toutes les idéologies de mort qui mène, avec les autres pays, la Bretagne au tombeau. L’originalité est qu’elle le fait en chantant sur fond de kan ha diskan, de cornemuses et de fêtes à n’en plus finir …

 

Vous traitez encore la France de minable, de petite, d’étroite… :  vos qualificatifs demandent à êtes précisés. Vous la dite inculte : là encore vous faites dans le flou. Voyez-vous, je suis de sang, de culture, d’âme bretonne, mais je revendique aussi ma part de culture française, et en tant que Breton, je n’en ai aucune honte. J’aime la langue de Bossuet, de Molière,  et l’authentique culture française, mais ce n’est pas pour cela que je donne à la France  un chèque en blanc pour éradiquer ma langue, la langue bretonne. Et nier la culture de mon pays. A nier la culture des autres, on en vient à nier aussi la sienne, à moins que préférant justement celle des autres on en vienne à haïr la sienne dans un ethno-masochisme mortifère. Et où avez–vous vu que la France était une violeuse de femmes ? Certes, en temps de guerre tous les belligérants se sont « offerts » les femmes des vaincus, et la Seconde guerre mondiale n’a pas dérogé à cette cruelle « tradition ». Mais de là à dire que la France se paye les femmes, vous devez confondre avec ce qui s’est passé lors de la tristement célèbre nuit de la Saint Sylvestre 2016 de Cologne… et en d’autres lieux.

Par votre lettre ouverte, vous entendez tancer la France, mais vous vous posez en moralisatrice, et le langage ordurier que vous avez cru bon d’employer vous retire ce rôle que vous vous êtes octroyée. D’autres que vous, la crème de l’élite bretonne, s’est par le passé employée à rappeler à la France ses devoirs envers la Bretagne, et cette élite  l’a fait avec élégance, avec courtoisie et diplomatie. Elle s’est appuyée sur un argumentaire sérieux, et non dans l’invective gratuite, stupide et stérile.

Votre lettre n’exprime en fin de compte que de la rancœur qu’il conviendrait de laisser de côté si l’on veut avancer. Elle n’exprime qu’une francophobie rancie qui n’a même plus le mérite d’être originale tant elle est devenue un poncif à la mode pour tous les branchés bobos et autres, courant après la dissolution de leur propre pays. Il est de bon ton aujourd’hui pour chaque peuple d’Europe de faire dans la phobie de lui-même, et croyez-moi, le Breton qui n’est jamais en retard d’un vice à la mode fait, sans s’en douter, dans la brittophobie : preuve en est sa propension à épouser toutes les idéologies de mort qui mène, avec les autres pays, la Bretagne au tombeau. L’originalité est qu’elle le fait en chantant sur fond de kan ha diskan, de cornemuses et de fêtes à n’en plus finir …

Dans tous les reproches que vous faites à la France, vous en avez oublié un : son apostasie immanente. Est-ce parce que ce problème ne vous intéresse pas, et n’intéresse guère le milieu breton ?  Car si aujourd’hui la France se comporte en prostituée, comme d’ailleurs toutes les nations d’Europe, y compris la Bretagne, c’est parce que les idéologues et leurs idéologies qui prennent leurs racines dans le siècle dit « des Lumières » l’ont prostituée, et de prostituée, elle est devenue maquerelle, mais ce n’était déjà plus, et ce n’est plus la France, ce n’est plus le pays réel, ce n’est plus la France des terroirs et des clochers, celle des cathédrales et des magnifiques monuments élevés de terre.

Que vous méprisiez la France des politiciens apatrides, apostats, dévots des Grands Ancêtres révolutionnaires, soit ! Moi aussi ! Mais à vous lire, de la France vous faite un paquet unique, et vous vouez le tout au bûcher. Jean-Paul II lui demandait ce qu’elle avait fait des promesses de son baptême. La question vaut aussi pour tous les pays anciennement chrétiens, et vaut pour nous aussi Bretons : qu’avons-nous fait de la promesse de notre baptême en tant que pays, en tant que chrétiens ?

Car voyez-vous, ne vous en déplaise, la Bretagne est aussi née chrétienne. La France et l’Europe, Madame, sont victimes de ceux qui de manière satanique ont perverti et prostitué leur âme, leur foi, leurs  traditions, et jusqu’à leur substrat physique.  Au lieu d’invectiver la France, vous auriez été plus inspirée de la prendre en pitié. Je ne suis pas de ceux qui se réjouissent de sa mort annoncée, en s’imaginant en tirer quelques profits nationalistes.

La mort de la France – je parle du pays réel – me serait autant insupportable que la mort de l’Allemagne ou de l’Espagne, de l’Angleterre ou des Pays-bas, qui sont sans doute déjà mortes mais ne le savent pas encore ; que la mort de la Bretagne, que la mort de chaque patrie qui forme cette Europe devenant de plus en plus un gigantesque terrain vague dans lequel cent peuples différents viennent camper et le défigurer.

 

C’est parce que ce malheur nous est arrivé que nous sommes, nous Bretons, à même de comprendre le désespoir des Français qui aiment leur patrie

 

Le malheur qui aujourd’hui arrive à la France, le malheur de voir nier son Histoire,  ses grands hommes, sa culture, sa foi, ses traditions, et jusqu’à sa langue qui se dévoie, c’est le malheur qui est arrivé depuis longtemps à la Bretagne. Je vous le concède, la France, du moins une certaine France, a là sa part de responsabilité. Mais justement, c’est parce que ce malheur nous est arrivé que nous sommes, nous Bretons, à même de comprendre le désespoir des Français qui aiment leur patrie. Le comprendre nous honorerait. Nous réjouir des malheurs présents  de la France ne sera, je le répète, d’aucun profit pour la Bretagne.

Voyez-vous, une des plaies d’un certain nationalisme breton, qu’il soit de gauche ou de droite, mais on les retrouve dans beaucoup de mouvements identitaires européens, c’est d’avoir rejeté le christianisme et toute transcendance, pour courir vers les chimères idéologiques, vers un athéisme porté comme un étendard, vers un néo-paganisme et ses panthéons  fantasmés, et cela leur retire tout avenir. Croire que la Bretagne se sauvera du tourbillon suicidaire des nations européennes en appelant les panthéons anciens à la rescousse confine à l’infantilisme politique. Votre lettre ouverte en est la parfaite expression : vous êtes passée à côté de l’essentiel parce qu’il ne vous intéresse pas, comme il n’intéresse pas bien des gens. Il est vrai que la colère, la rancœur, la haine sont de bien vilaines fées qui aveuglent. Malheureusement, force est de constater qu’aujourd’hui, comme hier, les meilleurs initiatives bretonnes sont parasitées par un pseudo-nationalisme qui se veut identitaire, mais qui par ses choix idéologiques, qu’ils soient de gauche ou de droite, détruisent les identités par ce nationalisme bilieux, stérile et sans avenir parce qu’il a rejeté l’essentiel : les racines chrétiennes de l’Europe, et pour ce qui nous concerne plus directement, de la Bretagne.

Si vous voulez, Madame, à l’avenir interpeller la France et ses dirigeants, faites le donc en termes courtois, appuyez-vous sur des argumentaires crédibles, oubliez l’insulte, mais avant tout prenez des leçons chez nos anciens qui, religieux ou laïques savent par une belle plume et une langue, breton ou français, étayer leurs propos.

La Bretagne pourrait encore faire entendre sa voix, mais à la seule condition qu’elle soit portée par une élite, non par des nains – fussent-ils des korrigan – de la pensée et de l’action.

 J’ai pris le temps d’accorder quelques attentions à votre lettre ouverte qui apparaît davantage comme une lettre fermée,  en retour, je vous invite à méditer sur mes propos que j’offre à votre réflexion et à celle de ceux qui me liront …

À propos du rédacteur Redaction

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3 Commentaires

  1. très bien dit ! Merci beaucoup !

  2. Louis-Marie SALAÜN

    Un grand merci pour cet article plein de bon sens et de vérité !!!

  3. Laret brav !

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